Sujet: Rhythm of the night ENZO & CHRISTOPHER Ven 8 Avr - 0:42
Christopher Carlson venait de terminer une journée plutôt intense au Heaven, le restaurant dont il était le propriétaire. Il fallait croire que d’être son patron avait ses avantages, mais également ses inconvénients. Oui, le riche homme d’affaire pouvait se permettre des employés, mais il souhaitait tout de même donner de son temps et s’impliquer pour rendre le business rentable. Il débutait dans le métier, c’était justement son premier vrai emploi depuis que son père avait gagné à la loterie, donc. En sortant du bâtiment, il entra dans sa voiture de luxe et roula jusqu’à son grand penthouse du centre-ville. Il prit une bonne douche et s’habilla plutôt classe, mais à la mode, pour sortir en boîte. Chris adorait les soirées, il aimait l’alcool et encore plus lorsqu’il y croisait des amis et s’éclatait. Dès qu’il buvait, il perdait son petit côté coincé enfoiré que beaucoup détestaient. Donc, Carlson, une fois prêt, prit chemin à bord de sa limousine jusqu’au bar où il accosta dans l’entrée. Il semblait y avoir une bonne foulée en cette soirée de samedi, ce qui était normal. Le gosse de riche entra à l’intérieur et analysa un peu l’ambiance. Il borda un grand sourire sur ses lèvres et se déplaça en titubant au rythme de la musique vers le comptoir jusqu’à ce qu’il croise assis à une table, Enzo, qu’il considérait comme un bon ami. « Hey toi, salut ! Qu’est-ce que tu fais ici ! » S’exclama-t-il de joie, sachant qu’il avait fait la rencontre il y a quelques temps de cet homme dans un bar justement – ce qui n’était pas très surprenant au final.
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Sujet: Re: Rhythm of the night ENZO & CHRISTOPHER Ven 8 Avr - 15:45
The rhythm of the night. Christopher & Enzo Bordel, j'te jure que j'aime pas ce boulot, j'suis même pas sur qu'avec ma maladie je puisse l’exercer en plus.. Genre, traîner avec des prisonnier dangereux toute la journée qui risquent de me tabasser, de me poignarder a n'importe quel moment, honnêtement, c'est bien un truc dangereux ou je risque de me blesser, enfin, ou je risque de me faire faire blesser, et sans même le réaliser en plus, c'est sûrement ça le pire là dedans. Forcement, je sens pas la douleur, si on me blesse, ça pourrait être grave que ça me ferait que dalle en fait. Mais bon, je m'en fiche, j'dis pas que j'aime bien ce boulot, non, c'est pas le cas, mais disons juste que ça pourrait être pire quand même.
Bref, j'sors de la prison, j'me mets a marcher vers mon appart, j'y suis vite, alors j'me bouge, j'me prépare vite, une bonne douche, des fringues potables et voilà, j'suis prêt, je ressors directement avec ce dont j'ai besoin dans mes poches. Mes clefs, mon portable, mes clefs et mon portefeuille, quatre trucs, quatre poches, c'est parfait. Bref, j'sors finalement en refermant bien la porte et j'prends le bus pour me rendre à Manhattan, puis là, j'vais en boite, j'aime bien ce genre d'endroit, même si j'y vais juste pour boire en général, même si les gens viennent pas vraiment toujours vers moi, j'y vais juste pour m'amuser un peu en fait.
Sujet: Re: Rhythm of the night ENZO & CHRISTOPHER Jeu 28 Avr - 23:32
(HJ: Désolé du retard)
De retrouver une connaissance qu’il avait récemment rencontré dans un bar justement lui parut surprenant, mais agréable également. Il ne s’attendait pas à croiser quelqu’un qu’il connaissait sans compter qu’il pouvait croire qu’Enzo pourrait devenir un de ses amis. Il ne savait pas grand-chose à son sujet malgré qu’il était gardien de prison et dans le secteur depuis peu. Il s’entendait bien avec ce type, donc pourquoi ne pas enchainer la discussion. Habituellement, Christopher pouvait être plutôt sélectif surtout envers les gens moins fortunés, mais dans un bar, il pouvait être plus sympa… encore plus avec quelques verres dans le nez. Bref, il s’emporta de joie en voyant l’homme. Christopher fit signe à la serveuse de venir prendre leur commande. « Exactement comme toi mon cher Enzo ! Prends place à ma table mec ! » Dit-il tout sourire. La serveuse vint finalement les rejoindre. Chris sortie un billet et le tendit à la jolie blonde qu’il matait depuis son arrivé. « Deux bières s’il vous plait ma belle ! » Dit-il en tendant le billet à la demoiselle. « Je te paie la tournée ! »