Salut tout le monde ! Moi c'est Will James Kingston mais tu peux aussi m'appeler Will c'est assez court non ?. Je suis né(e) le 4/07/1991 à Londres. Si tu comptes bien, ça me fait donc 24 ans. Autrement, je suis orienté vers les femmes surtout Savannah   . Et dans la vie, je suis aussi gérant d'un bar le "Hope Bar". Et puis, je me sens bien ici : Fire

Je m'appelle Elodie (adresse mail sur prd) et j'ai actuellement 20 ans. J'habite à Marseille dans le 13 Youhoouu. J'ai connu le forum grâce à Pretity qui a répondu à ma recherche et j'adore le design, le contexte, les groupes **. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : HAKUNA MATATA

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<span class="pris">► ADAM BRODY</span> ∞ will james kingston

Tu regardais cette chambre qui te semblait vraiment grande. Tu avais essayé de t'y habiter mais une partie de toi refusait de l'admettre encore. C'était comme cela, tu représentais le parfait préjugé. Gosse de riche mais pas heureux. Tu avais l'argent mais pas le bonheur. Tu pensais que c'était soit l'un ou l'autre que c'était rare d'avoir les deux. Bien sûr tu appréciais de pouvoir dépenser sans limite, être invité aux grosses soirées et te faire chouchouter encore par maman. Ta mère... Parlons-en. Tu avais hérité de son don de manipuler les autres. Tu savais très bien que tu tombais toujours dans ses pièges, c'était bien plus fort que toi et elle en jouait. Tu acceptais toujours d'aller dans cette grande maison juste pour la satisfaire. C'était bien la seule personne que tu n'arrivais pas à évoquer un non. C'est comme si elle le refusait et qu'elle faisait tout pour jamais l'entendre de ta propre bouche. Mais ce jeu peut-il durer éternellement ? Tu regardais toujours cette chambre si vide. Puis une drôle d'image vient s'imposer à toi. Une personne dont tu n'arrivais pas à oublier. Ce n'était pas faux d'avoir essayer pourtant. Tu avais mis le nez dans d'autres poitrines mais aucun te semblait te satisfaire. Tu en avais vu des visages rougis par tes prouesses mais aucune n'arrivait à la cheville de cette nuit-là. C'est comme si ton cerveau s'était arrêté simplement pour elle. Tu n'avais pas voulu t'attacher à elle, tu avais voulu simplement l'oublier. Tu étais quelqu'un comme cela. Au lieu d'affronter tes sentiments, tu avais bêtement fui. Tu t'es laissé compté des histoires par les autres pour te convaincre qu'elle n'était pas la personne qui te fallait. Mais au fond de toi ton cœur te criait que pour l'une des rares fois de ta vie : tu avais eu tort. Tu aurais dû te battre. Tu savais que si y avait une femme qui devait partager sa vie c'était bien elle. Tu l'avais laissé partir... Parfois, tu regrettais, mais après tout aurait-elle était heureuse avec toi ? Tu n'étais pas le genre de mec qui offrait des roses pour avoir un sourire de ta copine, ni celui qui se souvenait de la date de l'anniversaire de tes proches, ni celui qui voulait l'impression avec ton fric et l'emmener à des endroits hors de prix. Tu n'étais pas du genre compliments à dire qu'elle était magnifique et lui sortir des tirades... Non tu t'es persuadé que tu n'étais pas du tout le mec qu'il lui fallait. Même si t'avais une situation pendant longtemps tu as vécu en fonction de l'argent de poche de ton père et de ta mère. Tu profitais des voyages pour t'amuser au lieu de te cultiver. Tu te laissais entraîner facilement par ce mal-être que tu n'arrivais pas à te défaire. Au lieu d'aimer la vie, tu te renfermais dans ton propre confort. Bien sûr quand il s'agissait de plaire, de manipuler tu étais fort dans ton domaine. Tu aimais bien l'idée de tenir quelqu'un à tes pieds. Tu n'étais pas mieux que ta mère au fond. Tu profitais du fait qu'elle tenait une chaîne de restaurants. Pourtant tu avais été témoin des débuts de ton père et de ta mère. Elle avait un don pour la nourriture, c'était inné chez elle. Au début tu avais le plaisir de goûter sa cuisine. Maintenant elle courrait après le temps et elle laissait cette tâche à un cuisiner. Ton père qui avait galérer pour se faire un nom, il a suffi d'un bon partenaire et le voilà aux sommets. Il n'avait même pas le temps pour son propre fils. Ta mère qui n'avait soit disant pas de temps, s'en servait pour pouvoir te manipuler comme un pantin. Tu n'as jamais été acteur réellement de ta propre vie. Tu te laissais faire par celle-ci. Mais la seule fois où tu t'es senti bien, que tu pensais que cela allait être bien plus qu'un coup d'un soir, il a fallu que tu tombes sur une fille qui croit les conneries de son amie et qui n'assumait rien au niveau de toi. Mais tu ne t'étais pas défendu pour autant. Cela t'arrangeait qu'elle s'éloignait de toi. Tu t'es laissé berné par ses rumeurs qui lui collaient tant à la peau. Cette étiquette qu'elle avait sur elle. Tu t'es laissé convaincre qu'elle avait simplement juste envie de jouer avec toi, d'être la proie d'une nuit et c'est tout. Une fois qu'elle t'avait eu et qu'elle t'avait laissé comme une merde. Tu te réconfortais dans cette idée pour éviter de voir la vérité qui était devant tes yeux. Puis tu fis ta vie et te voilà de nouveau dans cette chambre vide. Tu cherchais un moyen de rendre ta vie plus palpitante, plus amusante, plus enjouée. Tu avais bien une idée, mais tu ne savais pas si t'avais la carrure pour le faire. Mais après tout tu avais l'argent... Alors après de longue d'hésitations, tu décidas d'ouvrir ta propre boîte d'un bar. C'était ton refuge, ton unique endroit où personne n'avait aucun pouvoir. Seul toi étais le patron, seul toi dirigeais. Tu te sentais merveilleusement bien dans ce monde-là. Même si tu mis du temps à décoller car tu n'avais pas voulu jouer les relations mais ton talent il commençait à se faire un petit nom ton bar. Tu l'avais surnommé « Hope Bar ». Curieux de lier l'espoir à ce bar ? Mais pour toi c'était ton seul moyen d'être vivant. Tu avais eu cet espoir que tu pouvais contrôler ta vie sans aucune intervention d'une autre personne. Tu te pensais être heureux mais ce n'était qu'une façade tu le savais très bien. Même si tu avais déménagé dans cette ville avec tes parents pour te poursuivre. Tu ne savais pas que la femme qui hantait tes nuits étaient à porté de main. Tu ne savais pas que chaque jour qui passait tu loupais la chance de la rater. On dit que New-York est une grande ville, pourtant il suffit d'un rien pour que deux personnes se rencontrent de nouveau sur le même chemin et si c'était le cas, prendras-tu la fuite ou accepteras-tu cette nouvelle chance que le destin t'offrait ? Seul toi peux en décider. En attendant tu étais toujours dans cette chambre à repenser à tout. Après tout, tu pouvais refaire tout un monde avec si.

Félicitations ! Tu fais partie de la liste des membres validés de WITS ! Et pour l'occasion, tout le monde fait péter la bouteille à ton honneur Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous ! Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu. Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait !).