Salut tout le monde ! Moi c'est Prénom Prénom Nom mais tu peux aussi m'appeler Surnom. Je suis né(e) le Date de naissance à Ville d'origine. Si tu comptes bien, ça me fait donc 25/28ans. Autrement, je suis Orientation sexuelle. On dit de moi que je suis AMUSANT, PASSIONNE, MALIN mais attention aux apparences, je sais me montrer également TETU, ARROGANT et TAQUIN. Et dans la vie, je suis aussi métier/étude. Et puis, je me sens bien ici : au choix

MADDISON L. FELTON – LILY COLLINS : quelques fois, on peut faire des rencontres qu'on oubliera jamais. Il était venu écouter un ami jouer dans un bar et il remarqua cette jolie jeune femme avec se beau sourire qui bougeait sur sa chaise au rythme de la chanson. C'est pas vraiment un grand séducteur, mais il n'a pas de mal à aller vers les autres, ni à trouver les mots. Donc il se lance à un moment où elle était partit chercher des verres, il la salua alors qu'il était dos à elle, il n'eut aucune réponse. Cette dernière se retourna avec ses deux verres et n'ayant pas entendu le jeune homme (elle est quasiment sourde) et n'ayant pas des yeux derrière la tête, elle le percuta dans sa rotation, vidant la moitié des bières un peu sur lui, sur elle et sur le sol. Alors que lui resta quelque peut perplexe, elle ne put se retenir de rire, quelque peu nerveusement vu qu'on ne rit pas quand son interlocuteur n'a pas l'air enjoué de la situation. « Désolé, je ne saviez pas que vous étiez juste derrière moi, c'est juste de la bière, je peux vous payer le pressing si vous voulez » « C'est une technique de drague ? » demanda-t-il alors c'est vrai, elle l'ignore pour ensuite lui rentrer dedans et lui proposer de laver son linge. « Ça pourrait vraiment en être une ? » c'était au tour de Maddie d'être perplexe, ne comprenant pas vraiment. « Vous m'ignorez pour finalement me proposer de me déshabiller » dit-il avec son petit sourire séduisant, qui manque pas d'estime de soi. Maddie finit par comprendre « Je n'aurais rien contre vous déshabiller, mais je ne vous ai pas ignoré, je vous ai juste pas entendu.. J'ai besoin de lire sur les lèvres, et non, ça n'a pas un second degré caché avec allusion sexuelle » dit-elle avec un sourire, sans sarcasme, elle acceptait très bien son handicap et c'était pas écrit sur son front. Il eut besoin de laisser quelques secondes à son cerveau le temps de repousser les effets des bières de la soirée et compris alors et ce n'est pas un air désolé qu'il afficha, mais au contraire, comme séduit. « Je n'aurais jamais cru, vous étiez tellement dans la musique tout à l'heure,.. » puis la discussion continua. Le courant passait si bien entre eux, Maddie lui parlant facilement de son handicap, elle n'a aucune gène, puis la sujet dériva sur des choses et d'autres avec toujours un jeu de séduction. La soirée vint à sa fin, « Je te raccompagne chez toi ? », Maddie lui sourit puis vient l'embrasser, peut-être de façon un peu trop passionnelle pour un lieu public. « Je coucherais pas avec toi se soir, peut-être une prochaine fois et non, je te donnerais pas mon numéro, on verra si nos chemins se recroiseront. Bonne nuit », elle l'embrassa une seconde fois, juste un rapide baiser cette fois-ci et partit avec son sourire satisfait. Ils se sont revu deux semaines après, dans un café, puis une semaine après dans une boite de nuit. Alors que le jeu de séduction était toujours présent, des baisers échangeaient de temps à autre aux détours d'un recoins ou sur la piste de danse, au moment de peut-être se quitter, elle l'embrassa avec la même passion que leur premier baiser « Non, pas se soir » dit-elle toujours avec son petit sourire malicieux et satisfait. « J'en avais aucune envie » dit-il avec un même sourire. Il attrapa le portable de Maddie et lui écrit son numéro, sans enregistrer « C'est tout ce que tu auras » dit-il avant de lui déposé un baiser sur la commissure des lèvres et de partir. Le lendemain, elle l'invitait à manger chez elle, alors qu'il frappa à la porte, elle lui dit d'entrer, il la trouva en sous-vêtement en train d'attraper une robe et de l'enfiler « Ne prends pas ça pour une invitation, j'aime pas être tout habiller chez moi » « Je peux arranger ça.. Mais pas se soir ». C'est un petit jeu dont ils sont en train de devenir quelque peu accro, et l'un commence à prendre un peu trop de place dans les pensées de l'autre et inversement. La suite est à voir..