Jacob Alexander Hawkins
la vie est un combat qui ne cesse jamais.
∞ MON MONDE A MOI
Salut tout le monde ! Moi c'est Jacob Alexander Hawkins mais tu peux aussi m'appeler Jake, ou Jaky pour les plus proches. Je suis né le 05 mai 1990 à New York. Si tu comptes bien, ça me fait donc 22 ans. On dit de moi que je suis protecteur, charmeur, positif mais attention aux apparences, je sais me montrer également têtu, impulsif et immature. Physiquement, je vais vous faire baver : je suis le sosie de Alex Pettyfer. Une chance, n'est-ce pas ? Et puis, j'aime cette chanson : Dangerous
∞ TU VEUX CONNAITRE MA VIE ?
Printemps 1990
Un dernier cri de souffrance scella la délivrance d’une jeune mère affaiblie mais comblée. Son petit Jacob Alexander Hawkins était né après d’éreintantes heures à le détester. Pourtant, cette haine la quitta dès qu’elle perçue le premier cri de son nouveau né, il était bien là et le manifester comme il le faut. Son ange dans les bras, la maman l’inspecta de toutes parts, se voulant certaine qu’il ne lui manquait rien, s’excusa et lui jura un amour infini. Cette promesse, la jeune mère s’époumonera à la respecter, parfois même au grand dépit de ce bébé devenu si grand.
Bébé Jacob, à peine sa naissance annoncée, remplissait de fierté une famille déjà bien garnie. Petit dernier d’une fratrie de 6 enfants, composée de quatre garçons pour seulement deux filles, le garçonnet devient rapidement la poupée grandeur nature de ses sœurs aînés et le souffre douleur de ses frères. A qui envie les familles nombreuses, il vous répondra qu’il peut vous vendre une ou deux paires de frangins contre une poignée d’haricots magiques ou voire gratuitement même.
Les années folles
Dès son plus jeune âge, le caractère du garçon avait marqué les esprits. D’un tempérament colérique et impatient, il fera définitivement renoncer à ses parents l’idée même d’enfanter à nouveau, pourtant désireux de voir une septième tête agrandir la famille. Dès ses 3 ans sa mère décida de l’inscrire à des cours de musique, bien contre l’avis de son père qui préférait voir son fils endossait un maillot de football américain, à l’instar de ses trois frères aînés avant lui. Définit comme une passion féminine par son père, Jake s’efforcera de lui cacher son amour du piano, des mélodies endiablées et des sons mal accordés. Des années plus tard et pour faire plaisir à son père, Jacob entrera dans l’équipe de foot de son lycée. Contrairement à ses frères, l’adolescent n’adule pas ce sport et le pratiquer lui demandera de nombreux efforts, il en gagnera pourtant une musculature qu’Hercules lui-même doit lui envier.
Avec un père militaire et un adolescent borné au possible, les soirs à la maison ne sont pas toujours roses et la petite famille vit désormais au rythme des disputes entre le fils et le père. La situation empire lorsqu’à 16 ans Jake se retrouve fils unique, ses frères et sœurs aînés ayant les uns après les autres quittés le cocon familial. Seul avec deux parents bien décidés à remettre leur fiston dans le droit chemin.
Pour éviter son père Jacob découcha de plus en plus, squattant chez des amis, dormant dans le parc jusqu’à ce que son paternel ne vienne le ramener à la maison en le tirant par l’oreille. C’est à cette époque qu’il la rencontra. Jamais encore il n’avait connu ce genre de relation, ils semblaient se connaître sans même ne s’être jamais rencontrés. Il la sauva un soir de fête devenue buverie et ils ne se quittèrent plus. Leur relation, bien qu’ambiguë, ne dériva jamais sur autre chose qu’une profonde amitié. Ils s’aimaient amicalement, du moins c’est ce qu’ils se disaient. Jake ne s’était jamais montré très doué pour dévoiler ses sentiments, qu’importe soient-ils, pourtant Jordan était la première personne qu’il voulait faire et voir sourire.
La vie commence là où l’enfance s’arrête
A 18 ans, Jacob suit l’exemple de ses aînés et décide à son tour de quitter la maison familiale, bien que les nombreuses disputes avec le paternel se soient calmées. Son départ ne signe pourtant pas sa liberté, ses parents se montrèrent clairs, il pouvait quitter la maison à l’unique et seule condition de vivre sous haute surveillance. Il emménagea donc chez l’un de ses frères, celui dont il était le plus proche et le seul qui en réalité n’avait pas quitté New York.
Son tempérament haut en couleur n’eut pas raison de ses études et c’est confiant que Jacob fit son entrer en fac de médecine. Malgré les apparences, sa personnalité turbulente et impulsive n’avait jamais entaché son acidité et ses facilités scolaires, bien qu’elle l’ait faite sur ses nombreuses heures de colles et renvois temporaires.
Agé aujourd’hui de 22 ans, la vie du petit Jacob n’a pas beaucoup changé. Toujours domicilié avec son frère et, plus récemment, son cousin, la vie à trois gars n’est pas tout le temps simple et un agenda « filles » a même été planifié afin d’éviter au maximum un trop plein de nuisance sonore la nuit, par respect pour les voisins.
Un mois plus tôt sa vie va pourtant prendre un tournant dramatique. Un soir, le couple Hawkins décide d’inviter leurs deux plus jeunes fils à venir manger à la maison. Vers 22h l’ambiance est chaleureuse, entremêlée d’éclats de rires et de vives discussions sur tout et n’importe quoi. Dans un faible sursaut, le patriarche porta une main à son cœur et se plaint d’une douleur avant de s’écrouler quelques secondes plus tard sur le sol, inconscient. Cette nuit là Jacob regarda son père s’éteindre, ses vaines tentatives pour le garder en vie échouant. Quant l’ambulance arriva au domicile la poitrine de son père ne se soulevait plus depuis quelques minutes, ses yeux étaient fermés et sa bouche légèrement ouverte refusait d’émettre tout son.
Désormais hanté par ce dernier souvenir de son père et sa totale impuissance, Jacob fait pour la première fois ce qu’il n’avait jamais fait jusque là. Il laisse tout tomber.
∞ ET MES GOUTS DANS TOUT CA ?
Sa première passion Jacob la doit à sa mère, elle lui avait fait apprendre le piano. Rien de mieux pour évacuer ses ressentiments que de jouer un air de musique. Pour y remédier, son père insista pour que son fils apprenne à jouer au sport national américain, le football, mais sans succès. Fin gourmet, Jacob est un vrai mangeur mais peut se montrer fine bouche quand il le veut ou totalement daleaux lorsque son ventre crie trop famine. Si on le connaît bien il avouera péniblement que Grease n’est pas aussi ringard que ça, que Roméo et Juliette n’est pas qu’une pièce de théâtre pour fille et que Colin Farrell est un beau gosse. Attention tout de même à ne pas aller le répéter !
Sa soirée idéale, Jacob l’imagine dans un bar irlandais à boire bière sur bière et à foncer dans le tas des plus bourrés venus l’embêter.
∞ ET DERRIERE L'ECRAN, C'EST QUI ?
Je m'appelle Mélanie et j'ai actuellement 20 ans. J'habite à Paris dans le 75. J'ai connu le forum aucune idée, m'en souviens plus en faite ^^' et ça fait quelques jours que je flirtouille sur le fofo, j'ai finalement craqué :p. Et comme je suis un gentil membre, je crédite les icones et gifs utilisés : ils ont été faits par Tumblr.