Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B.
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Sujet: Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B. Sam 7 Déc - 18:44
Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre
ZEPHYR LEWIS-BUTLER
« Crois-moi, elle n'a pas l’étoffe d'une meurtrière, elle est en deuil, tu perds ton temps à la mettre dans les suspects », l'inspecteur lui jeta un coup d'oeil interrogateur, qui demandait si elle était bien sur d'elle, ceux à quoi elle répondit par un signe de tête affirmatif « Tu sais bien que j'ai toujours raison », ça fait deux ans que Lilly bosse avec la police de New York, et en deux ans, on peut compter les fois où elle s'est trompé sur les doigts d'une main et c’était qu'après un premier interrogatoire très rapide. La journée avait été assez éprouvante, alors quand elle quitta son travail à dix-neuf heures trente, elle fut très heureuse de trouver un message d'une amie lui proposant de la rejoindre dans un des bars les plus renommer du Queens, un bar dansant où il y avait toujours beaucoup d'ambiance et étant vendredi, sûrement aussi beaucoup de monde. Elle jeta un coup d'oeil sur elle-même ; elle portait un de ses jeans préférés, une veste type smoking et un décolleté près du corps d'un rouge pale, bref pas besoin de passer à la maison pour se changer.
Elle trouva rapidement une place et pris le temps de donner un petit coup à son maquillage, retouche mascara et rose aux lèvres et elle était prête. Dernier coup d’œil dans la fenêtre, elle retira la pince qui était dans ses cheveux pour laisser ses cheveux ondulés retombés sur ses épaules. Quand elle entra dans le bar à vingt heure, il était déjà bien rempli, mais pas assez pour qu'elle ne retrouve pas son amie. Cette dernière était avec un groupe d'ami dont Lilly ne connaissait personne. Pendant une heure, elle s'enfila un martini puis quatre tequila, écouta son amie lui faire l'éloge d'un type tentant de jouer les entremetteuse et du supporter se mec qui n'était autre qu'un fils à papa qui étalait son grand savoir. Lilly tenta alors de s'en débarrasser en allant chercher un verre, alors qu'il allait la suivre, elle s’arrêta nette face à lui « Mon copain vient d'arriver, tu vois le magnifique Apollon au comptoir ? Donc maintenant tu ferrais bien de te tourner vers quelqu'un d'autre », ça marcha, il fit demi tour, tête baisser. Lilly se dirigea vers le comptoir, et aussi vers se bel homme qu'elle venait de citer, d'ailleurs elle entama sans mal la conversation avec lui, Lilly n'est pas dans le genre timide qui réfléchit avant de faire quoique se soit, et surtout pas avec de l'alcool dans le sang. « J'espère que ça ne vous dérange pas, j'ai du vous faire passer pour mon petit ami pour me débarrasser de quelqu'un », elle lui adressa un sourire, un de ses plus beaux et plus charmeurs, cet homme avait des airs qui ne lui était pas inconnu, mais elle n'était assez sobre pour chercher dans les tiroirs de sa mémoire. « Ca vous dérange pas si je m'assois à côté de vous ? »
Sujet: Re: Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B. Sam 7 Déc - 20:41
Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre
AVEC LILLY APPELWOOD
Une semaine de dingue se terminait tout juste pour le jeune médecin, sa deuxième au cabinet. Il ne revenait toujours pas de faire partie de cette équipe médicale si renommée tant dans la grosse pomme que dans le reste du pays, du monde même. Il travaillait avec les plus grands chirurgiens plasticiens et esthétiques du moment et n'était pas peu fière d'être le plus jeune de l'équipe. Quelque part il savait que ce poste, avec ces légendes vivantes de la médecine lui ouvrirait toutes les portes par la suite si toutefois il venait à les quitter un jour. Le brun était donc aussi épuisé que heureux en ce vendredi soir. Il avait passé la journée dans son laboratoire à cultiver des cellules de peaux afin de greffer le bras d'une jeune femme brûlée alors qu'elle cuisinait pour ses enfants. Et, bien qu'il adorait son métier, il avait vraiment besoin de se vider la tête, de penser à autre chose qu'à ces corps abimés qu'il essayait de réparer avec le plus de soin possible.
Une des patiente du cabinet - venue pour refaire son nez pour la quatrième fois - lui avait parlé d'un bar sympa dans le Queens. Le genre d'endroit branché où se retrouvait toutes sortes de personnes pour fêter dignement la fin d'une semaine de dur labeur. Elle lui avait même, gentiment, laissé l'adresse de l'endroit ainsi que son numéro de téléphone "au cas où" comme elle l'avait dit. Cette pensée fit sourire Zéphyr alors qu'il se dépêchait pour traverser la rue avant qu'une orde de taxis jaunes ne démarre. Le brun souhait repasser chez lui pour se poser et avaler un morceau avant de repartir. Il n'était d'ailleurs même pas sûr que son corps le porte jusqu'au bar une fois qu'il se serait étalé de tout son long sur le divan.
La nuit était tombée sur la grosse pomme mais la ville était tout aussi éveillée que le jour, peut être même plus d'ailleurs. Il y avait autant de monde, autant de voiture, autant de bruit et presque autant de lumière que durant la journée. Zéphyr était émmervaillé par ce qui l'entourait, tout était si différent du Kensas ici. Le brun interpela un taxi afin de se rendre à l'endroit prévu sans risquer de se perdre dans l'immensité des avenues qui se ressemblent presque toutes. La petite voiture jaune le déposa juste devant le fameux bar avant de repartir une fois que le médecin l'eu payé. Il semblait en effet avoir une très bonne ambiance, le bruit des basses et des conversations se faisait entendre jusque dans la rue où s'aglutinait des dizaines de personnes, fumant leur cigarette en discutant bruyamment.
Zéphyr se fraya un chemin jusqu'au comptoir en jouant des coudes, poussant les personnes déjà bien imbibées qui ne le laissaient pas passer. Une fois qu'il eu atteint son but il s'installa à une des hauts chaises et tapota sur la bar pour faire comprendre au serveur qu'il voulait quelque chose à boire. « Un whisky sec s'il vous plait. » demanda-t-il au serveur qui lui tendait l'oreille pour entendre malgré le brouhaha. Attendant son verre, Zéphyr inspecta les lieux du regard. Il y avait vraiment toutes sortes de personnes: des jeunes comme des plus âgés, des gens qui aisés et d'autre un peu moins mais ils avaient tous ou presque un point commun: leur taux d'alcoolémie ne leur permettait plus de prendre le volant. « J'espère que ça ne vous dérange pas, j'ai du vous faire passer pour mon petit ami pour me débarrasser de quelqu'un » lança une voix en s'approchant, sortant le brun de son analyse des lieux. Il lui fallut quelques secondes pour comprendre de qui émanait cette voix mais surtout qu'elle lui était destinée. Fronçant les sourcils, Zéphyr observa la blonde sans bouger, la regardant s'accrocher maladroitement au bar. Un léger sourire étira ses lèvres en constatant l'état d'ébriété dans lequel se trouvait la jolie jeune femme. Elle se fondait parfaitement dans la masse. « Ca vous dérange pas si je m'assois à côté de vous ? » demanda-t-elle alors que la boisson commandée par Zéphyr arrivait. Ce dernier remercia le jeune serveur avant de lui demander un verre d'eau en désignant la blonde à ses côtés d'un mouvement de la tête. « Je vous en pries, asseyez vous. » répondit-il sans relever sa première phrase, que pouvait-il répondre à ça de toute façon? Il l'aida à s'installer correctement, s'assurant qu'elle ne tombe pas de son siège. Elle n'était pas ivre morte mais suffisamment alcoolisée pour tomber et se faire mal et il serait bien dommage d'abimer un si beau visage. Le serveur posa un immense verre d'eau devant la jeune femme, gratifiant le médecin d'un sourire entendu avant de repartir de l'autre côté du comptoir. «Vous devez boire de l'eau pour éviter la gueule de bois. Le mal de crâne est dû à la déshydratation. » expliqua-t-il pour se justifier, laissant son côté docteur prendre le dessus.
Sujet: Re: Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B. Lun 9 Déc - 15:56
Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre
ZEPHYR LEWIS-BUTLER
Lilly est plutôt une habituée niveau fête et alcool. Elle était de celle qui tenait le mieux l'alcool dans les fêtes de lycée, et plusieurs années de lycée vous créer une bonne expérience dans le domaine. Ce n'est pas de quoi elle se vantait le plus, mais n'empêche qu'elle avait toujours aimé faire partit de ceux qui danse sur la table plutôt que de rejeter tout l'alcool de votre corps à l'arrière de la maison. Ces années à l'armée lui avait un peu fait perdre de ce coté là, même si il faut pas croire tout ce qu'on dit, à l'armée quand on fait la fête on l'a fait pas à moitié, surtout quand les supérieurs ne sont pas là. Puis après son accident, quittant les marines, elle avait vite repris coup à la vie de fêtarde, donc non, ce n'est pas deux/trois shot et un verre de martini qui vont rendre complètement saoule notre jolie Lilly, surtout, chose à noté, elle grignote aussi énormément, les cacahuètes à l'apéro on disparu, elle est coupable. Bref, en plus se soir, son premier compagnon de soirée n'avait pas été très amusant, Lilly avait même l'impression que ses shots n'avait aucun effet contrairement à l'ennuie du bonhomme, qui lui, la saoulé. Elle repéra en un coup d’œil un très bel homme accoudé au bar, qui lui avait aussi servi d'alibi pour se débarrasser gentiment de son interlocuteur trop ennuyant.
Lilly l'aborda en lui avouant qu'il lui avait servi d'alibi, ceux à quoi il mit du temps à réagir, surement avec le bruit, il ne s'était pas rendu compte que ça lui été adressé. Quand son attention fut sur elle, elle lui demanda si ça ne le dérangeait pas qu'elle s'installe à côté de lui, et ça avec son plus beau sourire bien sûr. « Je vous en pries, asseyez vous. » , lui répondit-il, ce à quoi Lilly en déduit qu'il venait surement juste d'arriver, vu sa politesse et son langage un peu 'soutenu', l'alcool n'avait pas encore pénétré dans se jolie corps, ou alors pas assez. Il eut aussi une réaction qui fit sourire Lilly, il l'aida à grimper sur la chaise, lui mettant en plus un verre d'eau sous le nez suivi d'une phrase toute droit sortit d'un manuel. Lilly est elle-même une sorte de medecin, donc elle sait reconnaître des congénère à des kilomètres à la ronde. Le savoir medecin le rendait encore plus sexy. « J'ai eu beaucoup trop la gueule de bois dans ma vie pour savoir que le seul remède à la gueule de bois, c'est soit : l'alcool, combattre le mal par le mal, soit du calme et une journée au lit avec un bon film et des gateaux aux chocolat. Mais je n'ai pas encore assez bu pour me réveiller avec une gueule de bois demain matin, ou même pour ne pas réussir à grimper seule sur ma chaise » ajouta-t-elle avec un sourire, faisant une référence à l'aide qu'il lui avait apporter qui était donc inutile. « Hé, Bob, la prochaine fois que tu me sers de l'eau, tu prendras la douche. La même chose que notre beau docteur s'il te plait », elle reporta ensuite son regard sur son voisin, qui avait l'air surpris qu'elle sache ce qu'il était. Lilly lui sourit alors « Je suis psychologue, j'ai fréquenté assez médecin en tout genre pour en reconnaître un et en plus se n'est pas non plus un avocat qui vous donnerait des conseils pour ne pas avoir la gueule de bois », souligna-t-elle pour compléter son explication et prouver qu'elle n'est pas voyante. Lilly était vraiment de très bonne humeur se soir, et voir le visage un peu bluffé du beau médecin ne fit que la ravir, et oui, une femme peut tenir l'alcool et une jolie blonde peut-être intelligente, observatrice et surtout avoir du répondant. « Quelle est votre spécialité ? », il était mignon et Lilly aime avoir de la compagnie, donc sauf s'il s'échappe en douce, ils étaient bien partit pour faire un peu connaissance.
Sujet: Re: Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B. Lun 9 Déc - 16:52
Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre
AVEC LILLY APPELWOOD
Une fois correctement installée sur son tabouret, la jeune femme s'empressa de faire comprendre à Zéphyr qu'il se méprenait quant à son état: « J'ai eu beaucoup trop la gueule de bois dans ma vie pour savoir que le seul remède à la gueule de bois, c'est soit : l'alcool, combattre le mal par le mal, soit du calme et une journée au lit avec un bon film et des gateaux aux chocolat. Mais je n'ai pas encore assez bu pour me réveiller avec une gueule de bois demain matin, ou même pour ne pas réussir à grimper seule sur ma chaise » Un sourire faussement gêné étira les lèvres du médecin alors qu'il portait son verre à sa bouche. « Déformation professionnelle je suppose. » avoua-t-il avant d'avaler une courte gorgée du liquide ambré. Elle n'avait pas tord, rester alité après une soirée était le meilleur remède qui soit mais tout le monde ne pouvait pas se permettre de prendre une journée - ou une semaine - pour se remettre d'aplomb, surtout pas Zéphyr qui se trouvait être en période d'essai pour les 3 prochains mois. La blonde semblait une habituée des lieux puisqu'elle connaissait le nom du serveur complice pour le verre d'eau. «La même chose que notre beau docteur s'il te plait » ajouta-t-elle d'un ton certain. Surpris, le brun se dressa sur sa chaise en tournant vivement la tête vers l'inconnue qui semblait en savoir beaucoup sur lui. « Je suis psychologue, j'ai fréquenté assez médecin en tout genre pour en reconnaître un et en plus se n'est pas non plus un avocat qui vous donnerait des conseils pour ne pas avoir la gueule de bois » se justifia-t-elle à son tour avant même qu'il n'ait eu le loisir de dire quelque chose. Une nouvelle fois le médecin sourit face à tant de ressources de la part de la jeune femme qui le surprenait depuis le début. Zéphyr était des plus ravi d'être sorti ce soir et d'avoir choisit cette endroit. Il avait réellement besoin de se vider un peu la tête loin du cabinet et cet endroit ainsi que cette jolie jeune femme semblaient parfaits pour ça. « Oh, une psy... » se contenta-t-il de dire en souriant de plus belle avant d'avaler une autre gorgée de whisky. Zéphyr ne faisait pas partie de ces médecins qui considèrent que les psychologues ne sont pas de vrais médecins mais il avait envie de tester la blonde et laissa donc sa phrase en suspend, attendant une réaction.
« Quelle est votre spécialité ? » demanda la jeune femme d'un air enjoué. La profession de Zépyr avait le don d'attirer les femmes et il le savait sans pour autant en jouer réellement. Il respectait bien trop les femmes pour les voir comme des objets sexuels. Et ce certainement à cause de ses quatre soeur envers lesquelles il sait se montrer incroyablement protecteur. « Je suis chirurgien plastique. » répondit-il simplement en détailla le magnifique visage de la blonde - encore une déformation professionnelle. La réaction des gens quant à sa spécialité changeait suivant les individus; certains trouvaient ça super alors que d'autre trouvent inadmissible qu'on sa fasse de l'argent en remplaçant des poitrines. Ces gens là oublient souvent que le métier ne consiste pas seulement à refaire des seins ou des lèvres… La réaction des femmes est un peu différente, certaines sont immédiatement intéressées et prennent rendez-vous alors que d'autre fuient à l'idée de devenir un cobaye qui sa se retrouver avec des seins dans le dos. « Je travail avec le docteur Barton, je viens d'arriver en ville en fait. » ajouta-t-il en terminant son verre d'un trait, ne sachant que dire d'autre. « Vous connaissez bien la ville vous. Je me trompe? » demanda-t-il alors pour ouvrir la conversation sur un autre domaine que le travail et la médecine. D'un geste de la main le docteur demanda à se qu'on lui remplisse son verre avec la même chose, bien décidé à profiter de sa soirée et à rester au lit devant un bon film et avec des gâteaux au chocolat toute la journée du samedi.
Sujet: Re: Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B. Lun 9 Déc - 23:59
Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre
ZEPHYR LEWIS-BUTLER
« Déformation professionnelle je suppose. », Lilly fit un léger hochement de tête, ayant déjà deviner le métier du bel inconnu, en même temps, observer, analyser et comprendre, c'est son travail de tout les jours. A cette heure-ci, elle était juste Lilly et non la psychologue, mais que voulez-vous, elle a son travail dans la peau. Lilly ordonna gentiment au barman de lui ramener un whisky, elle venait dans le bar presque une fois par semaine, donc oui, vient un moment où vous êtes comme une habituée. Quand on y pense, la voir en soirée décrédibiliserait son statut de psychologue, mais faut savoir que Lilly est une personne complètement de différente au travail ou en dehors du travail, elle sait faire la part des choses, quand elle quitte le travail, elle met, à moitié, la psychologue au placard. Son verre vint très vite, Lilly bue une bonne gorgée avant de regarder le beau docteur plutôt bouche bée d'avoir été si facilement découvert. Lilly s'expliqua alors, ce qui le laissa encore sans voix, sauf pour dire « Oh, une psy... », Lilly le regarda d'un air interrogateur alors que ce dernier aborder un sourire sur son visage. Notre jolie blonde entra en pleins dedans dans le jeu du beau médecin. « Vous avez quelques chose contre les psy ? Vous êtes le genre de médecin à se croire supérieur à nous autre les psychologues ? C'est sur que vous obtiendriez rien de moi avec un scalpel en main, mais vous êtes bien content qu'on soit là quand l'opération prend une tournure négative », finit-elle d'un ton satisfait, vous croyez quand même pas qu'elle allait se laisser chambrer sans rien dire. Elle avala une autre gorgé de son verre avant de continuer la conversation pour en savoir plus sur son interlocuteur. « Je suis chirurgien plastique. », sur le coup, elle fut légèrement surprise, elle l'aurait aussi très bien vu en chirurgien cardiaque. Puis elle opta pour faire un peu d'humour, comme toujours. « Je me suis toujours demandée ce qui serait à refaire chez moi, mais la nature m'a apparemment gâté, parce que je ne vois rien à redire » dit-elle en faisant un petit signe de tête, dans le genre ''L'oréal, parce que je le vaut bien'', avant de rire. Elle n'était pas du tout du genre vantarde, même si ce lancer des fleurs ne fait pas de mal de temps en temps. « Je travail avec le docteur Barton, je viens d'arriver en ville en fait. », ce nom lui dit rapidement quelque chose, elle se souvint alors d'une patiente qui était complètement accro à la chirurgie esthétique et qui cherchait juste à arreter. « On dit que c'est un bon medecin, enfin j'ai eu une patiente qui est passé plus de deux fois sur sa table, sa propre mère ne devait plus la reconnaître, surtout avec ses joues très tirés », finit-elle tout en se tirant la peau des joues vers les oreilles pour faire un avant goût de son exemple donné ; c'est comme ça que l'on sait que Lilly n'est pas non plus sobre, elle n'aurait surement pas fait se genre de chose avec un inconnu qu'elle a rencontré depuis cinq minutes.
« Vous connaissez bien la ville vous. Je me trompe? », le sujet de conversation se détourna du travail, c'est pas plus mal, sinon Lilly allait sûrement sous faire toute les grimaces possibles qui démontre une chirurgie trop intense chez certaines personnes. La jolie bonde répondit par un signe affirmatif de la tête puis répondit avec un sourire. « C'est bien ça. Je suis née et j'ai grandit à New York, je l'ai quitté quelques temps après le lycée, mais que voulez-vous, New York finit toujours par vous ramenez à elle. Et vous alors, c'est juste le travail qui vous amène à New York ? Ou c'est le paysage et l'architecture peut-être ? Aussi un besoin de renouveau ? », Lilly est psychologue, mais elle n'est pas voyante non plus, puis avec quelques verres dans le nez, elle a un peu plus de mal à lire dans les gens.
EKKINOX
PS : tes rps sont toujours très bien ma belle, donc arrête de dire le contraire si tu veux pas que je te tape sur les doigts
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Sujet: Re: Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B. Ven 13 Déc - 22:20
Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre
AVEC LILLY APPELWOOD
Ça ne loupa pas, la blonde réagit exactement comme il l'avait prédit, à croire qu'il était un peu psychologue ou simplement voyant … Un sourire moquer étira les lèvres de Zéphyr alors que la jeune femme le remettait à sa place: « Vous avez quelques chose contre les psy ? Vous êtes le genre de médecin à se croire supérieur à nous autre les psychologues ? C'est sur que vous obtiendriez rien de moi avec un scalpel en main, mais vous êtes bien content qu'on soit là quand l'opération prend une tournure négative » Il ne pu s'empêcher de pouffer alors qu'il portait son verre à ses lèvres dans l'espoir de garder son sérieux. Les psychologues étaient si prévisibles et successibles que ça en devenait amusant pour les médecins. « Vous êtes psychologue et pas psychiatre … vous n'êtes en rien un médecin … » ajouta le chirurgien en se calmant avant d'avaler une gorgée d'alcool. Il aurait voulu continuer à la taquiner mais il ne pouvait pas se permettre de se mettre à dos la seule personne qu'il avait rencontré depuis son arrivée dans la grosse pomme.
D'un geste volontairement décomposé et si lent que ça en devient exaspérant, Zéphyr reposa son vers et humecta ses lèves avant de se tourner vers la blonde en souriant. « Je suis pas ce genre de médecin. Votre profession est tout a fait louable bien que vous ne soyez pas médecin! » avoua le brun en renchérissant une dernière fois pour taquiner la jeune femme. Il n'en devait toujours pas qu'elle ait marché à ce point, elle avait carrément couru! « Pour tout vous dire, je crois que la moitié de mes patients auraient d'avantage besoin de quelqu'un comme vous que de quelqu'un comme moi. » ajouta Zéphyr en soupirant alors qu'il repensait à toutes ces femmes qui venait se faire augmenter la poitrine ou une liposuccion alors qu'elles pourraient simplement faire du sport.
« Je me suis toujours demandée ce qui serait à refaire chez moi, mais la nature m'a apparemment gâté, parce que je ne vois rien à redire » se moqua la blonde en agitant ses cheveux comme dans les publicités pour couleurs. Elle riait gaiement tandis que Zéphyr la regardait d'un air amusé. Il appréciait de plus en plus cette jeune personne au franc parlé qui s'avérait de très bonne compagnie. « Je ne vois rien a refaire. » trancha simplement le médecin en prenant un air professionnel. Il rigola à son tour en plantant son regard azur dans les yeux de l'inconnue. Il prit le temps de détailler chaque partie de son visage comme il l'aurait fait pour une de ses patientes, commençant par le nez qui était le plus couramment refait juste après les lèvres et les pommettes. Le médecin suivit une mèche blonde jusqu'à la poitrine de la jeune femme avant de relever la tête calmement. « Non, rien du tout. » dit-il à nouveau pour confirmer son premier diagnostique.
Comme il s'y attendait, la psychologue connaissait le docteur Baton au moins de réputation. La plupart des new-yorkais le connaissait et surtout les femmes bizarrement. « On dit que c'est un bon medecin, enfin j'ai eu une patiente qui est passé plus de deux fois sur sa table, sa propre mère ne devait plus la reconnaître, surtout avec ses joues très tirés » dit la blonde en imitant sa patiente. Zéphyr ne pu se retenir de rire face à la grimace de sa camarade de comptoir, il passait décidément une soirée des plus agréables. « Vous savez, mon travail ne se limite pas à ça. Je m'occupe aussi de grands brulés ou de personnes qui veulent cacher leurs cicatrices … » ajouta le médecin pour se donner bonne conscience. En réalité il n'était pas très fière d'être l'un de ceux qui contribuai à rendre toutes les femmes identiques les unes aux autres. Il croyait naïvement en se spécialisant en chirurgie plastique, qu'il aiderait des gens qui en ont réellement besoin et non pas des femmes au foyer qui dilapident l'argent de leur époux sans la moindre vergogne.
Le fameux Bob vint remplir le verre de Zéphyr comme il l'avait demandé alors que la psychologue répondait à sa question. Il avait toujours aimé posé des questions à ces gens là: pour une fois que c'est à eux d'y répondre. « C'est bien ça. Je suis née et j'ai grandit à New York, je l'ai quitté quelques temps après le lycée, mais que voulez-vous, New York finit toujours par vous ramenez à elle. » lui apprit-elle avant de reprendre : « Et vous alors, c'est juste le travail qui vous amène à New York ? Ou c'est le paysage et l'architecture peut-être ? Aussi un besoin de renouveau ? » demanda la jeune femme, curieuse à son tour. Le Kansan fit tourner son verre entre ses doigt en cherchant comment formuler sa réponse. « Um, je suis venu parce que je ne pouvais pas me permettre de refuser un tel poste. Travailler pour le docteur Barton est une opportunité qui ne se présente qu'un fois dans une vie. » lâcha-t-il finalement en portant son verre à sa bouche avant de le reposer pour ajouter: «Après, si vous me demandez pourquoi j'ai postulé à New-York alors je vous dirai que mon Kansas natal commençait à me peser, il était temps que je vois du pays. » Cette fois il avala effectivement une courte gorgée de whisky, laissant un instant de silence s'installer entre les deux adultes. Ce silence n'était pas pesant pour Zéphyr, il appréciait simplement la musique et s'imprégnait de l'ambiance des lieux en profitant de l'agréable présence de la blonde à ses côtés.
Soudain le téléphone du jeune médecin vibra à l'intérieur de la poche de son pantalon. Qui pouvait bien le déranger un vendredi soir à cette heure avancée de la soirée? Sortant le combiné de sa poche le brun pu lire le nom de "Dr Barton", autrement dit son cher et tendre patron. « Excusez-moi, il faut que je réponde. » dit-il à la jeune femme en désignant le téléphone d'un geste de la tête. « Docteur Lewis-Butler, bonsoir … » commença-t-il en tentant de regagner la sortie pour entendre ce que son patron voulait lui dire. « Pardonnez moi docteur mais je ne vous entend pas. » ajouta Zéphyr en faisant une grimace à la blonde pour lui signifier son exaspération tant à cause du coup de fil que des gens qui refusaient de le laisser sortir.
Alors alors, je sais pas si j'ai bien fait de faire comme ça. C'est peut-être trop tôt pour que Lilly sache que c'est Zéphyr ou alors c'est mal fait … j'ai volontairement laissé le truc un peu sans fin pour que tu décides ce qu'on fait. Si Lilly le rejoins dehors, s'il sort et revient ensuite ou si finalement il raccroche et dit à son patron qu'il le rappelle demain. A toi de choisir :angel:
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Désolé, mais je ne suis pas assez sobre pour te reconnaitre - pv Zéphyr L-B.