Salut tout le monde ! Moi c'est Bethany Sara james mais tu peux aussi m'appeler Bethy ou juste Beth. Je suis né(e) le 4 mars 1990 à Londres, Angleterre. Si tu comptes bien, ça me fait donc 23 ans. Autrement, je suis hétéro. Et dans la vie, je suis aussi étudiante en journalisme. Et puis, je me sens bien ici : Air

Je m'appelle birdie♦heats et j'ai actuellement 21 ans. J'habite quelques part dans le 73. J'ai connu le forum via la publicité sur FB et j'adore, déjà le scénario est une tuerie et pour le peu que j'ai vu des membres.. eux aussi :D. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : .. ou pas XD

✖ Mon enfance n'a rien d'exceptionnel vous savez. Je suis la fille de Charlie James, un garagiste et de Marie James, une caissière, autant vous dire que les revenues de mes parents étaient plutôt modeste. La seule petite particularité de ma famille, est surement les dix années qui séparent mes parents et qui font que mon père à été l'homme d'une autre avant d'être celui de ma mère. Je ne sais pas grand chose sur son passé, juste quelques morceaux d'histoire que j'ai entendu parfois, par accident. D'ailleurs je crois qu'il a d'autres enfants. Quoiqu'il en soit, ce ne sont pas mes histoires et je sais que si mon père n'en parle pas c'est parce qu'il a ses raisons et je les respecte. En dehors de ce passé mystérieux pour mon père, ma vie n'a jamais rien eu de vraiment originale durant mon enfance. Comme tout les enfants, j'allais à l'école, faisait des caprices et jouait à la corde. Tout cela dans les rues de la belle ville de Londres.

✖ Les années ont alors commencés à défiler quelques peu et j'ai grandi. Je suis entrée au collège et j'ai rencontrée l'amour comme on dit, enfin est-ce que l'on peut vraiment parler d'amour à 13 ans ? En tout cas, à l'époque moi j'y croyais. Il était mon voisin et on passait toutes nos journées ensemble à jouer à cache-cache ou à faire nos devoirs puis un jour, il est partit, on avaient quoi 14 ans un peu près et on c'était dit que notre histoire survivrait, après tout, il comptait revenir ce n'était qu'une question de temps. Contrairement à moi à l'époque, je suppose que vous avez compris que tout cela était faux. Mais j'y croyais tellement fort que finalement quand tout ses arrêtés, j'ai eu un peu de mal à m'en remettre. La première rupture est toujours difficile et plus encore quand celui que l'on aime est à plus de milles kilomètres, dans un autre pays. Et que la raison de la rupture est simplement un arrêt de nouvelles. Puis le temps passe, les cicatrices se referment peu à peu et puis, il faut bien continuée à vivre, non ? C'était dans cette optique que j'avais trouvée le courage d'avancer. Et comme toutes les filles au coeur brisés, je pensais ne jamais retrouvée l'amour, ne jamais retombée amoureuse et finir vieille fille avec des chats.*rire* Puis, il y a eu lui. J'avais quoi 15 ans, 15 ans et demi, quand je l'ai rencontrée, c'était le fruit du hasard. Sincèrement . C'était digne des plus beaux films d'amour, la pluie battante et un seul abris où nous nous étions retrouvés et où nous avions parlés de tout et de rien, comme deux inconnus. Puis je suis simplement tombés amoureuse, amoureuse de ce charme envoûtant, de ce regard noisette, de tout, de lui. Nous nous sommes embrassés et notre histoire à durer près de 6 mois et j'étais sincèrement heureuse avec lui et la bombe est tombée, une seconde fois. Son père à été muté et il à dû quitter la ville, de mon côté, j'ai pleurée toutes les larmes de mon corps avant de lui annoncer notre rupture. Une solution difficile, mais je ne pouvais pas prendre le risque de faire la même erreur deux fois, de souffrir une seconde fois autant, je ne m'en remettrai pas. Je le savais. Puis j'ai eu 17 ans et mes problème de coeur sont devenus secondaire, quand on a découvert mon cancer. J'ai passée les trois années, les pires de ma vie à courir entre les hôpitaux, n'allant presque plus en cours, ce qui me fit gagner une année de retard. D'après les medecins, l'opération que j'ai subi à en quelques sortes tuer le cancer mais je sais qu'il peut revenir à tout moment, j'en suis consciente. Voilà pourquoi j'ai décidée de vivre ma vie pleinement et surtout de quitter Londres, de voir le monde.

✖ Les études de médecine, c'était mon premier fois. Je voulais sauver des gens pour voir dans leur regard ce que j'avais vu dans celui de mes parents quand on nous a annoncer ma guérison. Alors, j'ai pris l'avion pour New-York ! Un rêve et surtout l'occasion de faire en une pierre deux coups. Premièrement je prenais mon indépendance réellement, sans avoir mes parents inquiets à chacun de mes pas. Et surtout parce que les universités new-yorkaises ont d'excellentes réputations, idéal pour moi et pour mon avenir. Le seul soucis, c'est que j'ai bien rapidement compris que la médecine et moi, ce n'était pas vraiment cela. J'ai toujours été travailleuse alors l'université en elle-même n'était pas compliqué et je m'en sortais plutôt bien mais il me manquait une chose, une chose primordiale : l'envie. Parce qu'il faut bien se l'avouer, plus les mois passaient et moins j'aimais la médecine. Alors après deux années de médecine, j'ai changer de filière et je me suis tournée vers le journalisme. Pourquoi ? Je ne sais pas vraiment, c'était une pulsion et sincèrement, je ne le regrette pas, cela fait maintenant deux ans que je suis ses études et je les adore, presque autant que New-York. Cette ville est pleines de surprises et rebondissante, et je l'avoue, il y a bien plus de soleil qu'à Londres.