Salut tout le monde ! Moi c'est Chelsea Patricia Cook mais tu peux aussi m'appeler Chouchou. Je suis né(e) le 26 juin 1991 à New York. Si tu comptes bien, ça me fait donc 24 ans ans. Autrement, je suis Bisexuelle. Et dans la vie, je suis aussi étudiante en art. Et puis, je me sens bien ici : Air

Je m'appelle Alex et j'ai actuellement 34 ans. J'habite à Victoriaville dans le Centre-du-Québec. J'ai connu le forum je connais ce forum, j'avais été membre, il y a quelques années et VOTRE PREMIERE IMPRESSION. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : Merci!

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<span class="pris">► LILY COLLINS</span> ∞ <span class="name">Chelsea P. Cook</span>

Bonsoir, je m'appelle Chelsea Cook, future peintre, architecte, actrice... bref, je suis étudiante en arts modernes à l'Université Columbia et j'ai vu le jour à New York, dans le Bronx. Ma mère est une canadienne du nom de Amélie Bouchard, qui est née à Stanstead, un village frontalier situé à la frontière du Vermont et du Québec. Cela peut vous paraître étrange mais la maison, où elle a passé son enfance, fut située sur le côté nord de la rue Canusa. Maman fut très chanceuse car elle vit sur du côté québécois... sinon elle serait obligée d'aller à la douane à chaque fois qu'elle sort de la maison. Mon père, Eric Cook, est le petit-fils de l'ancien joueur de hockey William Osser Cook, dit "Bill". Son grand-père, natif de l'Ontario, a marqué l'histoire du hockey newyorkais pour trois raisons: il est premier joueur à signer un contrat avec les Rangers, premier capitaine de l'histoire et son nom fut inscrit comme le premier buteur de la concession, en novembre 1926.

Vivant dans une maison très modeste, mes parents tirent leur subsistance en travaillant à la radio: maman faisait un programme éducatif pour l'apprentissage de la langue française et papa anime une émission d'affaires sportives dont les Rangers fut le sujet principal. Lorsque j'étais née, maman avait pris un congé parentale pour m'élever et papa gagnait suffisamment d'argent pour nous nourrir. Selon la tradition américaine, j'entre à l'école à trois ans, en 1994. Cette année, j'ai vécu mon premier fait divers en assistant à la finale de la Coupe Stanley au Madison Square Garden. Avant ce match, papa m'avait fait visionner des parties qu'il avait enregistré sur son magnétoscope, il travaillait à la tribune téléphonique, le soir des matchs à la fin des années 80.

1997, j'entre à l'école primaire mais en même temps, j'ai quitté l'avenue Boyston, dans le Bronx, pour m'installer à Brooklyn, dans le quartier de Flatbush. Habitant l'avenue du même nom, je suis à l'intersection de Flatbush et Church, auquel j'emprunte la station Church pour me rendre à l'école primaire Alexine Fenty. L'école n'est pas moderne car l'édifice datait des années 1910. En principe, je ne déteste pas les lieux car Brooklyn a un cachet charmant au niveau architectural. Durant les fins de semaines, je me suis mise à dessiner les maisons ancestrales et à me documenter comment était Brooklyn et New York 100 ou 200 ans plus tôt. Après six années d'étude, je quitte Flatbush pour m'installer dans le Queens afin d'étudier le lycée.

Fêtant mes 18 ans, je viens d'être admise à l'école des arts de l'Université    Columbia! Étudiante, j'effectue mon baccalauréat en étudiant le théâtre. Apprenant les cours de diction, de jeu, de pose de voix, je deviens une meilleure personne depuis que j'ai quitté le lycée. Parlant du lycée, j'ai une rencontre très excitante: celle des deux meilleurs amis que j'ai! Elsa Julians a vu le jour à Paris de parents américains tandis que Jake m'a fait de moi une femme comblée! Elsa venait d'arriver de la France et ne connaissait personne avant notre première rencontre. Quand j'étais lycéenne, j'étais une fille pas mal timide, effacée par moments en raison de mon intérêt pour les arts. Mon bulletin présente une moyenne entre 70% à 88% à chaque étape scolaire malgré mon caractère assez casanier! C'est vrai que j'aimais les garçons dans le style sportif mais la rencontre de Jake a changé la mise puisqu'il est un peu effacé. C'était en mars 2005, au cours d'une danse populaire, que le coup de foudre fut déclenché alors qu'il était en train de prendre un verre de punch au fruit. Grand, mince, le défaut qu'il peut avoir est qu'il ne regardait pas où il allait. Rejoignant son siège, il m'accroche et son verre se renverse sur mon haut de robe. C'est en le regardant que mon regard croise le sien et tout en s'excusant, il se précipite pour nettoyer mon bustier! On s'est accroché pour la vie et lorsque Elsa fut faussement arrêtée et accusée de possession de drogue, ma vie fut mise au ralenti. Je ne parvenais pas à croire que mon amie fut une maniaque de la drogue et devinez qui vient me secourir durant ces six mois difficiles? Jake, évidemment!

28 mars 2015, alors que je préparais mon stage pour la maîtrise, je sortais d'une entrevue pour un emploi estival. Mon téléphone sonna alors que j'approche de l'entrée du métro dans le quartier de Long Island. Entendant la voix au téléphone, je deviens amorphe et mon coeur est sur le point de sortir dès que j'apprends que mon père fut atteint d'une tumeur au foie. Cela m'a pris une heure avant de me rendre compte que j'arrive trop tard alors que l'oncologue m'annonce qu'il est emporté par un cancer en phase terminal et qu'il n'a pas survécu! Ce fut le pire malheur qui m'est arrivé depuis que j'avais perdu ma mère en juillet 2013, d'une embolie pulmonaire. J'avais insisté qu'elle soit enterrée dans le côté canadien de la frontière, où elle est née. À ce moment, je me questionnais si je voulais continuer à vivre et finir mes études ou terminer avec ma vie. Quand on a perdu ses parents d'une manière aussi effroyable et vivre avec le deuil, il y a des graves décisions à prendre et je compatis sur la présence de Jake et de Elsa pour m'aider à suivre ma voie. Aujourd'hui, si je suis encore ici, c'est que je compte sur deux amis fidèles et que ma famille est encore là pour me supporter!