Salut tout le monde ! Moi c'est Neal Hunter Deeks mais tu peux aussi m'appeler Neal. Juste Neal.. Je suis né(e) le 09/05/1985 à New-York. Si tu comptes bien, ça me fait donc 30 ans. Autrement, je suis Hétéro. Et dans la vie, je suis aussi un escroc. Et puis, je me sens bien ici : fire

Je m'appelle Nana et j'ai actuellement 24 ans. ( Oui j'ai pas encore 25, j'vous emmerdes !! )  J'habite à Besac dans le 25. J'ai connu le forum tout a fait par hasard   et j'adore ce design. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : petit mot.

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<span class="pris">►CHRIS PRATT </span> ∞ Neal H. Deeks

Neal n'a pas toujours été tel que vous le voyez aujourd'hui. Enfant, le garçon était certes assez turbulent, mais évitait de faire des vagues. De quoi pouvait-il se plaindre ? Il avait deux parents qui l'aimait, de quoi vivre correctement, jamais dans l'excès, jamais dans le besoin. Et même devenir grand frère fut un souhait exaucé. Il lui avait fallut six ans pour comprendre qu'être enfant unique n'était pas drôle. Il ne lui avait fallut qu'un instant pour se jurer de devenir le meilleur des grands frères lorsqu'il rencontra Rory, ce bébé. Les deux frangins ont toujours été proches l'un de l'autre, même les disputes liées à leur âge ne s'éternisait pas. Rory était à la fois le boulet de Neal, et son meilleur ami. Et puis, vers l'adolescence, l'ainé commença à entrer dans sa phase rebelle. Première clope, joint, bière, cuite, fille, connerie. Il avait beau aimé ses parents, il lui arrivait souvent de réfléchir de quelle façon allait-il bien pouvoir les faire chier aujourd'hui. C'était un jeu pour lui. Il avait toujours été très joueur. Il y avait d'abord la solution facile : créer une dispute. Ca hurlait, sa mère l'amusait lorsqu'elle se mettait hors d'elle, ou alors créer une situation délicate. Venir chercher son fils à l'école parce qu'en cours de chimie il avait fabriqué une boule puante énorme n'était pas ce qui plaisait le plus a ses parents. Rory était beaucoup plus calme, mais il était sur de l'amuser avec ses histoires. Le jour le plus affreux pour sa famille fut sans doute le jour où il obtenu son permis. Confier des tonnes de tôles à un garnement comme lui relevait de la folie. Mais c'était cool. Il adorait ça, sortir de la ville et prendre des chemins sur lesquels il pouvait rouler à en faire vibrer l'aiguille du compteur.

Les études n'étant clairement pas faite pour lui, il était bien plus fainéant qu'idiot, il décida de ne pas les poursuivre. Vivre de petits jobs ne lui faisait pas peur, c'était mieux que de s'enfermer dans une profession et de faire tous les jours la même chose. Son astuce et son charisme de leadeur lui aurait sans doute permis d'obtenir une bonne place, comme PDG quelque part. Mais les responsabilités ne l’intéressait pas. Pourtant, il dut endosser une sacré responsabilité. Un secret, même. Un jour, il surprit son petit frère en train d'embrasser un autre mec. Il avait hésité entre leur casser la gueule a tous les deux, lui parce qu'il entrainait Rory dans quelque chose d'anormal, et Rory pour être aussi con. Mais il n'en fit rien, et se contenta d'observer jours après jours son abrutit et gay de frère. Il auraitt souhaiter lui en parler, pour comprendre. Peut-être se cherchait-il ? Rory n'avait jamais voulu être comme tout le monde, c'était sa rébellion à lui ? Mais lui en parler c'était l'accepter, et ça il s'y refusait. Les autres gays ne le dérangeaient pas, il s'en foutait. Mais là, c'était son frère. L'imaginer avec un autre mec le dégoutait. C'était un sujet tabou dans la famille, mais il fit la promesse de garder ce secret sous clés. Promesse qu'il rompu sans s'en rendre compte, lorsqu'il avait 21 ans. La voiture l'ennuyant dorénavant, il réclamait a ses parents une moto. Ceux-ci pointèrent du doigt le fait que Neal ne travaillait pas, et qu'il était hors de question de dépenser le peu d'argent qu'ils avaient pour une simple lubie. Cet argent, à defaut de servir a payer les études de l'ainé, pourrait aider à payer celle du cadet. " Pour l'envoyer où, dans une école militaire où il pourra continuer à se taper des mecs ? Putain c'est Rory le Pd, et c'est moi qui m'fais toujours enculer." lacha-t-il, énervé. Cette simple phrase prit des proportions monstres quand bien même Neal tenta de sauver la situation. Ce soir là, a son retour du lycée - ou du parc - Rory se fit mettre dehors par sa famille. Neal ne trouva rien a dire, regardant son cadet de seulement 16 ans quitter la maison. Il pensait que ça prendrait fin rapidement, que ses parents allaient réfléchir durant la nuit et le faire revenir après cette crise au petit matin. Mais non. Les jours se succédèrent, et le seul a rechercher Rory était son crétin de frère. Realisant que ses parents ne faisait rien, Neal s'en mêla : " sérieusement ? Vous préférez le savoir seul plutôt que d'accepter ? Bordel moi aussi ça m'gave, mais c'est mon frère putain. Votre fils !" s'énerva-t-il. Quelques minutes plus tard, les deux hommes de la maison se foutaient sur la gueule. " Tu comprendras quand tu auras ta propre famille !" lui avait-on dit , ce à quoi il avait répondu : " Si c'est pour devenir deux connards comme vous, je préfère faire une croix la dessus." Ce fut la dernière fois qu'il les vit.

Quittant la maison familiale, Neal se mit en tête de retrouver Rory, a nouveau. En vain, encore. De toute façon, il n'aurait sans doute pas aimer le voir. Le regard de déception qu'il lui avait lancé resterait à jamais dans sa mémoire. Et puis, s'il l'avait trouvé ? Qu'aurait-il dut faire ? S'excuser ? Neal était bien trop fier pour ça. Il n'avait pas a le faire, il ne devait pas se sentir coupable d'avoir poussé son frangin à s'assumer... D'accord, c'était facile comme raisonnement. Bien plus facile que d'admettre qu'il avait fait une belle connerie. Il resta quelques mois encore a NYC, hébergé part un pote, avant de partir de la ville.
N'ayant plus de frère, plus de mère, plus de père, plus rien ne le retenait ici. Et pour fuir au mieux cette vie, il parti en Australie. Un peu excessif ? Non, ça n'était que le début d'une nouvelle vie. Profitez de la vie. La bas, il travailla dans les cueillettes , pour vivre. Il partageait le Van de deux mecs parti pour faire un road trip. Ce fut d'ailleurs avec eux qu'il apprit tout l'art du poker, ce jeu lui rapportant bien plus en une soirée qu'une semaine de travail sous un soleil caniculaire. Il continua l'aventure avec eux, apprenant bien des choses qu'il n'aurait pu connaitre a New-York : que la vie était courte, que les plans étaient fait pour être modifiés , qu'on pouvait se contenter de peu, qu'il était bien plus amusant d'être un jour à Sydney, et la semaine suivante au Japon, et que les femmes de chaque pays étaient une richesse que seul un fou n'aurait pas aimer avoir.

Quand il remit les pieds sur le sol américain, presque deux ans plus tard, il avait de quoi se la payer, cette foutue moto qui avait été l'élément déclencheur de toute cette nouvelle vie. Plus qu'un véhicule, elle était devenue un symbole. Il ne regrettait pas son passé, ses erreurs lui avait permis de devenir l'homme qu'il était aujourd'hui. Peut-être pas le meilleur des hommes du monde, mais lui, simplement lui. C'était peut-être égoïste, mais qu'importe. C'était sa vie, il pouvait en faire ce qu'il voulait. D'ailleurs, il continua sur cette voie la. Poker, paris sur des combats clandestins, ou même acteur de ces combats, tout était bon a prendre pour éviter la vie ennuyeuse d'un train train quotidien. Il sillonna l'Amérique sur sa moto, se professionnalisant dans l'escroquerie. Bon menteur, insufflant la confiance aux gens, Neal s'était rendu compte que le meilleur moyen de vivre correctement, était de profiter des efforts d'autrui. Et ce profit, il comptait bien en faire sa vie. C'était sans remords qu'ils s'attaquaient aux femmes les plus riches du pays, ainsi que les plus naïves, soulignons le. Sans remords, parce qu'il était un salaud, vraiment. Mais aussi parce qu'elles-même profitaient d'une richesse qui ne leur était pas due. Héritage de famille, ou d'un riche mari récemment décédé, il fréquentait parfois même des femmes versant dans l'adultère. Qu'importe, puisqu'au final, Neal repartait les poches remplies. Elle était loin, l'époque où il n'avait besoin de rien. Aujourd'hui, le monde s'offrait a lui, et il comptait bien prendre sa part du gâteau. On lui proposa même, durant son périple, d’intégrer une sorte d'équipe d'escrocs. Il refusa. Neal était un solitaire, d'une. De deux, magouiller avec des escrocs était bien la dernière chose à faire , a moins de vouloir devenir une cible. Et puis, le vol à l'état pur, ça ne l’intéressait pas. Trop risqué, et il n'était pas assez habille. Il vivait ainsi pour être libre, pas pour finir en prison. Passant de ville en ville, améliorant son jeu a chaque fois, sa technique, son charisme, il trouva une riche idiote en Californie. Abuser de la confiance, faire du chantage, tout ça c'était bien beau, mais vu et revu. Il avait l'occasion avec elle de tester autre chose, sur du long terme. C'est ainsi qu'il se retrouva a jouer au mec parfait, pour plaire a cette Idiote. Celle-ci fit quelques temps plus tard, l’acquisition d'une villa sur New-York, et décida d'y emménager, le temps de s'en lasser. Il fut donc forcé de la suivre, et ainsi, revenir dans cette ville qu'il avait quitté, bon nombre d'années tôt...

Pas besoin de te rejouer tout le speech mais j'en ai envie ! Tu sais déjà ce que je pense de ce perso ! Nos meilleures idées viennent après minuit non ? Re re re re rebienvenue chez toi !

Félicitations ! Tu fais partie de la liste des membres validés de WITS !   Et pour l'occasion, tout le monde fait péter la bouteille à ton honneur Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous !    Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu.   Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait !).