Sujet: Ryan Williams - Sky is the limit Sam 9 Mai - 19:43
Ryan. Williams
Sky is the limit
FEATURING Grey Damon - CREDIT Faith
Salut tout le monde ! Moi c'est Ryan Williams mais tu peux aussi m'appeler Le Kid. Je suis né le 5 novembre 1985 à Manhattan. Si tu comptes bien, ça me fait donc 29 ans. Autrement, je suis Hétéro. Et dans la vie, je suis aussi cordiste et promoteur immobilier. Et puis, je me sens bien ici : Fire
Je suis quelqu’un d’aventureux, fonceur et têtu. Ne me lancer jamais un défi, il est certain que je le réalise à moins qu’il porte atteinte à ma réputation ou qu’il peut causer du tord à quelqu’un d’autre. Quand c’est contre un autre homme, il est très rare que je refuse quoi que ce soit. Ce n’est pas pour rien que je me suis souvent réveillé dans mon lit, la gueule de bois ne me souvenant plus du tout de ma soirée. J’ai un énorme goût pour l’aventure, que ce soit avec les femmes ou encore dans la nature, je ne tiens pas en place et mon côté fonceur me pousse à toujours aller plus loin. Que ce soit le sommet d’une montagne, ou la plus belle fille du bar, j’arrive toujours à avoir l’objectif que je me suis fixé. Toutefois, j’ai une grande peur de l’engagement, ce n’est pas pour rien que j’ai 29 ans et que je suis toujours célibataire. Soyez sans crainte, mesdames, j’avise toujours mes conquêtes qu’elles resteront tout simplement des histoires d’une nuit, je ne cherche pas à changer mon statut civil. Vous êtes-vous déjà obstiné avec quelqu’un pendant des heures alors que vous ayez totalement raison et que malgré tout cette personne ne vous donnait toujours pas raison ? Vous étiez sans aucun doute avec moi. J’ai une vrai tête dur, il est rare que je change mon idée que je me suis fait en tête. Il vous faudra de sacré bons arguments et de la patience. C’est sans aucun doute mon plus grand défaut. Je suis très bon menteur, il y a plusieurs facettes de ma vie que je cache aux autres. Ayant deux métiers, je mène réellement une double-vie et j’essaie de ne pas mélanger les deux. Ça me met parfois dans l’embarras, mais en général j’ai toujours bien réussi à m’en sortir. Mon charisme réussit à en convaincre plus d’un. Pour terminer sur une note plus positive, je dirais que je suis quelqu’un de très drôle et bavard. J’aime beaucoup m’amuser et jouer des tours aux gens que je côtoie. Je ne suis pas très difficile à vivre, j’ai toujours un sourire sur le visage et il est rare que je vois le côté négatif des choses en premier. Quand je suis nostalgique et que je suis d’humeur maussade, je quitte l’île de Manhattan pour un coin reculé en nature et je reviens toujours avec un plein d’énergie
Je m'appelle France(Yup, comme le pays!) et j'ai actuellement 23 ans et toutes mes dents. J'habite à Québec dans le Canada. J'ai connu le forum à l'aide de mon ami Google et l'ambiance m'a tout de suite plu. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : je suis une personne sympathique folle avec qui on ne peut s'ennuyé et qui adore rigoler
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Ryan Williams
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Sam 9 Mai - 19:47
Ma petite histoire
Je vais te faire rêver mi amor
9 novembre 1989 – Daddy where is mommy ?
Je ne me souviens plus très bien de tous les détails de cette journée, je n’avais que 4 ans après tout. Je venais tout juste de fêter mon anniversaire quelques jours avant, ma maman avait fait un gâteau au chocolat en forme de l’automobile Boumbo, j’avais pleuré de joie je m’en souviens. J’aimais tellement cette émission. J’avais soufflé les bougies et j’avais espéré avoir une petite sœur ou un petit frère, comme plusieurs de mes amis à la garderie. Quelques jours après mon anniversaire, j’étais à la garderie. Je m’amusais comme un petit fou, je voyais l’heure passé et je savais que ma mère ne tarderait pas à arriver. Je n’arrêtais pas de dire à mon amie Keïla que ce serait génial si ma mère arrivait un peu plus tard. Ma mère était toujours la première arrivée, elle arrivait toujours à la même heure et je manquais donc plusieurs activités avec des amis à la garderie. Mon souhait s’est réalisé, ma mère était bel et bien en retard. Je suis même le dernier à être partie de la garderie cette journée là. C’est mon père dans son habit de travailleur qui est venu me chercher à 19h, alors que la garderie fermait ses portes à 17h. Je me souviendrai toujours de son regard qu’il avait eu, ses traits étaient épuisées, ses yeux étaient ravagés par des émotions, son corps tremblait. Il redoutait le pire, la question que je lui ai instantanément posée : Papa où est maman ? Mon père qui ne montrait jamais ses émotions, s’est laisser tomber par terre et à exploser en sanglots. Je crois que c’est le moment où il a réalisé que ma mère ne reviendrait plus jamais, qu’elle était bien décédée dans un accident de taxi et qu’il était maintenant seul à répondre à toutes ces questions naïves d’un enfant dont il ne connaissait aucunes réponses douces et rassurantes comme toute maman sait le faire. Je n’ai jamais eu de réponse de la part de mon père cette journée là, j’ai compris avec l’aide de ma monitrice de la garderie que ma maman était rendu un ange au ciel. Je n’ai jamais plus reposé cette question à mon père et je n’ai jamais revu mon père pleuré.
1993 - 2003 The kid
J’ai eu une enfance bien différente des autres enfants que je côtoyais à l’école. Puisque ma mère était décédée, il n’y avait que mon père pour m’élever. La vie New Yorkaise étant dispendieuse surtout quand on n’a qu’un salaire et deux bouches à nourrir, mon père travaillait continuellement. Il m’arrivait souvent de l’accompagner les fins de semaine à son travail puisqu’il n’arrivait pas à me trouver de gardienne. Je me souviendrai encore de ma première journée avec lui, mon père était mécanicien de métier. Il avait des contrats à gauche et à droite. Et le contrat qu’il avait eu cette journée là était dans un des plus hauts édifices de Manhattan. Nous étions entré dans l’ascenseur et le nombre de gens qui entraient et sortaient avait surpris mes yeux d’enfants, puis nous étions arrivé au toit de l’immeuble où se retrouvaient plusieurs des collègues de mon père.
-Tu nous apportes de l’aide Henry ? avait dit Jake le plus vieux des quatre.
-Oui, j’ai pas eu le choix la gardienne a annulé à la dernière minute, avait rétorqué mon père.
Jake avait alors cherché quelque chose dans sa boîte à outil, une casquette rouge avec le logo de la compagnie pour laquelle ils travaillaient. Puis, il se dirigea vers moi et la mit sur ma tête qui était beaucoup trop petite pour la grandeur de la casquette de toute évidence.
-Bienvenue dans l’équipe, le Kid, dit-il avec un gros sourire.
J’ai ensuite passé la journée avec eux et je m’étais amusé comme un petit fou. J’étais impressionné de voir l’un d’eux descendre à l’aide d’une corde sur le bord de l’édifice réparé quelque chose surtout à la hauteur où nous étions. Je ne m’étais pas senti aussi bien depuis si longtemps. Je les aidais en leur emportant des outils et en échange ils m’expliquaient ce qu’ils faisaient. Après cette journée, j’ai toujours refusé de me faire garder et ça me faisait un plaisir d’accompagner mon père au travail. Les collègues de mon père étaient rendus pour moi aussi précieux que des membres de ma famille. Ils m’ont toujours appelé le Kid et c’est resté mon surnom avec le temps. Au fil des ans, j’ai beaucoup appris les facettes de leur métier et dès que j’ai eu l’âge officiel pour commencer à travailler, j’ai obtenu un emploi de la part du patron à mon père. Je travaillais le samedi et le dimanche, je nettoyais les vitres des immeubles accrochés à une simple corde. Bien que l’emploi n’était pas très glorieux, la simple sensation de liberté suspendu à cette corde à des centaines de mètres d’altitudes me rendait heureux.
2004 -2010 Dreams always stay dreams
Cette année là c’était une année charnière pour moi, la dernière année avant l’université. Des efforts j’en avais fait des tonnes. Je savais qu’il n’était pas facile d’intégrer l’université. J’étais loin d’être un élève studieux qui performait, mais j’avais toutefois une moyenne raisonnable. J’avais fait ma demande dans trois universités différentes toujours pour le même programme génie civil. J’avais entendu des élèves ce matin-là discuter de l’une des universités pour lesquelles j’avais postulé, l’un d’entre eux disait qu’il avait reçu sa lettre d’acceptation. Mon stress avait grandit, j’avais peur d’être refusé. Quand je suis revenu à la maison, j’ai aussitôt regardé dans la boîte aux lettres si j’avais reçu une enveloppe. Il n’y avait rien. En réalité les trois lettres m’attendaient sur la table de la cuisine, en face de mon père qui avait une bière à la main. Un sourire s’est affiché sur mon visage, mon père voulait sans aucun doute célébrer mon acceptation à l’une d’entre elles, mais quand je croisai son regard mon sourire s’effaça. Il n’y avait aucune expression de joie dans le sien. Ìl prit une dernière gorgée avant de prendre la parole.
-Écoute Ryan, je ne sais pas trop comment te dire ça… Depuis quand tu regardes pour les universités ? Tu ne m’en as même jamais parlé. Je n’ai jamais figuré que tu voudrais poursuivre tes études après le lycée. J’ai toujours pensé que tu voulais faire comme moi. Tu as l’air tellement heureux dans ton emploi de fin de semaine. En fait, je n’ai jamais économisé pour un jour t’envoyer à l’université, je n’aurais jamais cru que ça pouvait t’intéresser. Je n’ai pas les moyens de te payer des études universitaires. À un salaire, j’ai toujours voulu t’offrir une belle qualité de vie et j’ai déjà fait plein de concessions pour que ce soit le cas. Avoir su que tu voulais aller loin, on aurait pu déménager pour un loyer moins cher au début de ton lycée, j’aurais économisé…
Je l’ai écouté radoté les mêmes choses pendant plus d’une heure. Je n’arrivais pas à parler. Avec mon père, je n’avais jamais manqué de rien et j’avais toujours tout eu ce que je voulais. Je n’avais pas réalisé encore qu’il avait ses limites monétaires et ce que je lui demandais était un fardeau de trop pour lui. Je n’avais jamais parlé d’école avec lui parce que c’était un sujet qui l’ennuyait. J’aurais eu un « A » ou un « D », pour lui ça n’avait pas d’importance tant que je réussissais et que je ne faisais pas de niaiseries à l’école. Mon père s’en voulait terriblement, ça se voyait aux gestes qu’il posait et à la manière qu’il s’exprimait. J’ai tout simplement pris les trois enveloppes et je les ai mis dans le recyclage. Je doutais que je m’étais fait accepter dans l’une d’entre elles vu la grandeur de l’enveloppe, mais je ne l’ai jamais su. Je n’ai jamais eu le courage de regarder. C’était un rêve que je caressais de devenir ingénieur depuis quelques années et il venait de tomber à l’eau. Jamais, je n’aurais les moyens financiers de le devenir. Il fallait que je l’accepte.
Après cet évènement, un gros changement est survenu dans mon attitude et mon comportement à l’école. Je travaillais déjà les fin de semaines dans le domaine que j’allais de toute évidence faire carrière. Je n’allais pas à l’université l’année d’après, je n’avais donc pas besoin de notes extraordinaire. J’avais fait tant de sacrifices pour arriver à la moyenne que j’avais eue. Être au travail et aux études en même temps ça n’avait pas toujours été facile. J’avais laissé de côté ma vie sociale pour plus étudier sans lâcher mon travail. J’ai arrêté du jour au lendemain de faire beaucoup d’efforts à l’école. J’ai commencé à sortir avec mes amis le soir. J’arrivais en moyenne trois fois par semaine chez moi totalement ivre. Les autres jours je ne rentrais tout simplement pas dormir à la maison. J’avais prit le goût à faire la fête, à boire et surtout aux femmes. J’avais eu quelques amourettes au lycée, mais elle n’avait jamais durée bien longtemps. Elles finissaient toujours par me plaquer parce qu’avec l’horaire que j’avais, les seuls moments qu’on se voyait c’était à l’école ou presque. Je draguais plusieurs filles dans les bars. Ça se finissait toujours chez elles, jamais chez moi. Je m’arrangeais toujours pour goûter au plaisir de la chair et partir avant que le soleil ne se lève. J’ai suivi le même rythme que mes amis qui ne s’engageaient avec personnes, toujours une fille différente chaque soir. Je n’avais jamais été aussi égoïste de ma vie, je pensais à moi et juste à mon propre bonheur. J’oubliais le reste du monde et leurs sentiments. J’ai créé à ce moment là mon propre malheur, parce qu’encore aujourd’hui j’ai une peur bleue de m’engager à quiconque parce que je n’ai jamais connu ça. Mon père et moi on s’est éloigné. Il n’était pas fier du gars que j’étais devenu. Il trouvait que j’avais pris la solution facile. Il avait raison, il lui manquait juste le courage de me le dire en pleine face pour que tout s’arrête, chose qu’il n’avait pas parce qu’il se sentait responsable de ce que j’étais devenu. Il se sentait responsable de n’avoir jamais pensé que peut-être que je voudrais aller à l’université et que maintenant je foutais ma vie en l’air. Et moi, j’étais trop égoïste et immature pour le rassurer et lui dire que j’étais fautif aussi, je préférais le voir dans le même désespoir que moi et ne rien lui dire. C’est un comportement que je ne me suis jamais pardonné et que je ne peux malheureusement pas effacé de mon histoire.
29 août 2012 – We should never grow up
Il y a des matins où on dirait que rien ne va. Toutes les petites choses du quotidien vont mal. Il n’y a plus de lait pour ses céréales, le métro a décidé de cessé de fonctionner, une auto vous a éclabousser alors que vous tentiez d’avoir un taxi, tout m’était arrivé ce matin-là. J’étais vraiment de mauvaise humeur avant d’arriver au travail, mais aucune de ses émotions n’égalaient celle que je m’apprêtais à vivre. Nous avions tous nos habitudes au travail. Depuis que j’étais tout jeune je fréquentais ces gars-là, c’était ma deuxième famille. Je savais d’un seul coup d’œil quand l’un d’eux n’allait pas bien. Quand j’ai vu que Jake n’était pas là, je savais qu’il se passait quelque chose de pas normal. Il était toujours le premier arrivé sur les lieux. Mes collègues m’ont dit qu’il ne reviendrait plus. Il était à l’hôpital. On lui avait découvert un cancer et vu son âge plutôt avancé, il avait décidé de ne pas le combattre. Ses jours à vivre étaient comptés. Personne ne parla beaucoup cette journée là. Il n’y a que Steve, le plus glouton des quatre, que j’ai vu mangé. Je n’avais pas le cœur à ça. J’avais l’impression de perdre un parent proche. Chaque soir j’allais le voir à l’hôpital. Chaque soir son état dégénérait. C’était parfois dur sur le moral, mais je sais que ça lui faisait du bien de me voir. J’ai vite compris qu’il n’avait pas d’amis proches, ni de famille proche. J’étais la personne qui allait le voir le plus souvent. C’est quand je me suis rendu compte de ça que j’ai décidé de commencer à dormir à l’hôpital pour lui faire de la compagnie. Il me disait sans arrêt de retourner chez moi et de ne pas me préoccuper d’un vieux bonhomme comme lui, mais au fond de moi je savais que ma présence rassurait cette grande peur de la mort qu’il vivait. Il n’y a que l’une de ses nièces qui est venu le voir deux fois. Une petite rouquine fort jolie. Il semblait y avoir une quelconque attirance entre nous, mais je n’ai jamais cherché à mener ça plus loin. Je trouvais ça déplacé devant Jake et de toute façon j’avais depuis bien longtemps décidé que la vie de célibataire m’allait parfaitement.
Le 6 octobre 2012 Jake Adams a rendu son dernier souffle devant mes yeux. Deux émotions m’ont alors habité, la peine de ce deuil qui grandissait de minutes en minutes et un soulagement pour lui puisque maintenant il ne souffrait plus. Cet évènement m’a également permis de prendre du recul de la vie que je possédais. Ma vie de débauche ne me menait à rien. Si je continuais dans cette direction, moi aussi un matin j’allais finir à l’hôpital et la seule personne qui serait à mon chevet serait un collègue de travail. J’avais une belle personnalité à la base. J’étais capable d’aller plus loin, j’en avais les capacités. Je n’avais jamais baissé les bras dans ma vie, j’arrivais toujours à surmonter n’importe quelle épreuve. J’avais été lâche toutes ces années. Il était temps pour moi de me reprendre en main.
Le mois suivant la mort de Jake, j’avais déjà commencé à regarder pour des cours de soir à l’université. J’avais arrêté de sortir autant comme je le faisais avant. J’arrivais de travaillé quand on m’a appelé, je n’avais pas compris qui m’appelait, mais je devais me rendre à un cabinet et c’était à propos de Jake. J’avais noté l’adresse et je m’étais aussitôt précipité à l’autre extrémité totale de la ville. Je me retrouvais devant M. Timmins, la personne qui s’occupait du testament de Jake. Je ne comprenais pas trop pourquoi j’étais là, moi. Jake m’avait écrit une lettre. Elle était datée de 2007. Les larmes me sont venues aux yeux, Jake m’écrivait qu’il m’avait toujours considéré comme son propre fils après toutes les heures qu’on avait passé à se raconter nos quotidiens et nos plus grandes peurs. Il me remerciait pour tous ces beaux moments et pour terminer il me disait qu’il me léguait tout ce qu’il possédait présentement excepté un 20 000$ qu’il donnait à sa nièce. C’était déjà un choc de savoir qu’il me léguait quelque chose, quand j’ai eu connaissance de tout ce qu’il possédait mon choc fut encore plus gros. C’était tellement un gars simple, il ne parlait pas beaucoup de sa vie. En plus du travail qu’il faisait avec nous au quotidien, il possédait une petite entreprise où il possédait deux immeubles dans Manhattan. C’était un promoteur immobilier. Il achetait des immeubles, il les louait par la suite. Puis quand il avait fait du profit il en achetait un nouveau. Il possédait également un condo à deux pas de Times Square. Il y eut un froid entre moi et sa nièce quand elle sut tout ce que son oncle me léguait, elle me parut bien moins charmante. J’ai décidé de faire hommage à Jake et de prendre les règnes de sa compagnie à mon tour.
Now –Never give up
Actuellement, j’ai une vie un peu folle. Je jongle entre ma compagnie de promoteur immobilier et mon métier de cordiste. De plus, je fais un certificat à l’université en entrepreneuriat. J’ai l’impression de mener une double vie, mais j’aime ça, je n’ai pas le temps de m’ennuyer. Ma seule crainte est que les clients que je rencontre dans le cadre de mon entreprise découvrent que je suis également cordiste. Je ne veux pas qu’ils aient une mauvaise image de mon statut social et qu’ils ne me prennent pas au sérieux. J’ai donc deux cercles d’amis totalement distincts. Ceux qui me connaissent comme étant un cordiste et ceux qui me connaissent comme étant un jeune entrepreneur immobilier. Parfois cette double vie me mène dans l’embarras et dans des situations assez délicates, mais le jeu en vaut la chandelle. Je rencontre parfois des demoiselles, mais je n’ai pas le temps de débuter une relation sérieuse ni l’envie en réalité. J’ai beaucoup trop d’heures à consacrer dans ma compagnie actuellement, mais je prends tout de même du temps pour voir mes amis et profiter de la vie. On ne sait jamais quand elle peut s'éteindre, c'est quelque chose que personne ne peut contrôler.
Dernière édition par Ryan Williams le Lun 18 Mai - 1:40, édité 5 fois
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Sam 9 Mai - 19:54
Bienvenue à toi !
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Sam 9 Mai - 20:37
Bienvenue beau gosse ! Bon courage pour ta fichette ^^
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Dim 10 Mai - 12:33
Bienvenue. Bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Dim 10 Mai - 16:24
Bienvenuuuuuuuuuuuuue
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Dim 10 Mai - 22:47
Grâce à toi, j'ai appris ce qu'était un cordiste puisque j'ai dû aller voir la définition sur Wikipédia. xD Mon ignorance me perdra. Mais maintenant que je sais ce que c'est, je trouve le titre de ta fiche extrêmement bien trouvé. x)
Bienvenue sur WITS ! Bon courage pour le reste de ta fiche que je lirais dès qu'elle sera terminée. *-*
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Ryan Williams
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Dim 10 Mai - 22:53
Merci à tous ! J'ai perdu une bonne heure de ma vie sommeil à trouver s'il y avait un nom à ce métier autre que laveur de vitres, ahah ! Je ne crois pas qu'il y a grand monde qui connaisse ça
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Lun 11 Mai - 19:38
Ahah, bah je suis rassurée alors. Mais ça peut toujours faire bien dans une rédac, pour faire comme si j'étais super intelligente. (a) Je te remercie pour le tuyau, donc. \o/
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Mar 12 Mai - 12:24
BIENVENUE sur le forum mon beau
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Mer 13 Mai - 11:20
Bienvenue à toi :D
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Jeu 14 Mai - 12:09
Bienvienduuuuuuuuuue ! Amuses-toi bien parmi nous !
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Lun 18 Mai - 1:43
Merci !
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Lun 18 Mai - 2:45
Au top du top mon loupiot
Bravoooooo !
Boumbo Boumbo petite automobi-bile ! J'adore cette voiture !! J'adore ta fiche et ton histoire ! Ryan est un personnage très intéressant et j'ai hâte de le voir évoluer sur WITS
Félicitations ! Tu fais partie de la liste des membres validés de WITS ! Et pour l'occasion, tout le monde fait péter la bouteille à ton honneur Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous ! Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu. Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait !).
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Sujet: Re: Ryan Williams - Sky is the limit Lun 18 Mai - 3:24