Salut tout le monde ! Moi c'est Samuel James König mais tu peux aussi m'appeler Sam' suffit, vraiment j'insiste et le premier qui m’appelle Sammy je le flingue!. Je suis né(e) le 2 Janvier 1987 à New York, dans Brooklyn très précisement. Si tu comptes bien, ça me fait donc 27 ans ans. Autrement, je suis pansexuel, pour le malheur de mon père. Et dans la vie, je suis aussi militaire, par obligation familiale. Et puis, je me sens bien ici : Fire

Je m'appelle kelly   et j'ai actuellement 22 ans. J'habite à contrecoeur, québec dans le CANADA hehehe ouep, une québécoise parmi vous!. J'ai connu le forum par facebook, une de vos membres m'a conseillé de venir et je suis tombé en amour ! et bah il est magnifique déjà. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : c'est ça! Je vais vous connaitre par la cb très rapidement je pense, enfin je suis une boule d'énergie donc faudra vous y faire  

   

Code:

<span class="pris">► Sebastian Stan</span>[/url] ∞ Matthew E. König

Avant:
Débutons par, je suis fils adoptif d’une famille qui voulait absolument un enfant depuis des lustres. Mes parents ne sont pas méchant, ce sont des allemands venu vivre en Amérique pour avoir la paix, ils adorent New York. Ils m’ont adopté à quelques mois après ma naissance, ma mère Roumaine ne pouvait plus s’occuper de moi, elle m’a donné à ce couple fortuné qui promis de prendre grand soin de moi. Jamais je n’allais la rencontrer, savoir son nom, même avoir quoi que ce soit pour me souvenir d’elle. Elle n’avait rien laissé, outre moi, derrière son passage. Bien qu’aujourd’hui cela me paraisse par moment triste, je me souviens qu’elle n’avait aucun choix, au moins elle prit la bonne décision en me donnant aux König. Mon père vétéran dans l’armée était un homme très discret, voir secret, il cachait à tous mon adoption relatant qu’il était mon véritable père. Personne ne niait le vieux, jamais, il valait mieux aller en son sens même quand il crachait des mensonges. Ma mère elle était plus douce, plus gentille, ne pouvant enfanter elle me voyait comme son miracle pendant de nombreuses années. Je restais seul avec eux jusqu’à mes huit ans où ma mère revint avec une petite rouquine tout droit venu de l’Irlande. Ma sœur, ma petite sœur, devint alors ce que mes parents avaient de plus précieux. Je grandissais dans le calme le plus complet, outre mon père parfois très sec, mais il restait un homme de l’armée même à la maison. Les choses allaient se refroidir bien plus tard quand je découvris le plaisir de la chair. Je devais avoir quinze ans, ma première relation fut avec un homme, malheureusement mon père allait me prendre sur le fait. Il me fit bien comprendre qu’il n’accepterait jamais mon « homosexualité » que je croyais avoir à l’époque, quoi que je fasse il refuserait jusqu’à sa mort, à partir de ce jour notre relation devint très tendu. J’allais finir le lycée en ayant aucune autre relation ou aventure, pour me faire enrôler dans l’armée dès la graduation. Mon père me forçait à suivre ses pas disant que cela allait régler mes déviances par la même occasion. Ce qu’il ne comprenait pas était que je n’étais pas qu’attirer par les hommes, les femmes étaient leurs égale, mais ce que je favorisais c’était quelqu’un de rayonnant à mes yeux à quelqu’un de beau à voir. Non il ne comprendrait jamais, alors je quittais la maison en déposant un unique baiser sur le front de ma benjamine qui pleurait à l’idée que je parte, ne regardant pas derrière. Lors de mon déploiement en Irak, à mes vingt ans, je vis des horreurs qu’aucun homme ne devrait voir dans sa vie. Je ne pouvais pourtant rien y faire, rien y changer, j’étais le soldat impuissant face au spectacle qui se présentait devant mes yeux. On me renvoya aux États-Unis en découvrant mes psychoses suivant ces évènements que je garderai sous silence. Cet endroit m’avait détruit, les psychologues du campement me dire incapable de continuer mes missions, alors je pris un avion vers les États-Unis. De retour à la maison on m’envoyait sur un campement à Washington où j’aidais à entrainer les nouvelles recrues, c’est là-bas que je fis la rencontre de Matthew, mon ex mari à devenir. Sur un coup de tête, sous le coup de foudre, on allait se marier à Las Vegas pendant nos vacances. On avait vingt-trois ans, la vie devant nous, le monde était à nous. On n’était ensemble que depuis quelques semaines quand on fit le mouvement et bien sûr je ne mis pas mon père au courant de la situation. Je me fichais bien de ce qu’il pourrait dire sur nous, j’étais amoureux, j’avais la vie devant moi pour lui faire comprendre que c’était ce que je voulais comme vie. Pourtant tout les contes de fées ont une fin non?

Maintenant:
Vous êtes pas sérieux? Il divorce, après deux ans de mariage, parce que je l’ai trompé avec sa meilleure amie? Pour une seule soirée, parce que j’étais loin d’être ivre, non sérieusement j'étais carrément conscient de mon acte? Il est taré, ce ne sera pas une perte, il savait qui j’étais avant le mariage! Il savait que j’étais infidèle, ne venez pas me dire qu’il n’est pas au courant que j’ai couché avec une vingtaine de personnes peu avant le mariage! Je regarde les papiers qui sont devant moi, les petits mots inscrits dans son encre « Je n’en peux plus, il m’a en partie tué, je ne pourrai plus jamais avoir confiance en lui. » et je le regarde droit dans les yeux avant que mon avocat me tourne la tête de force. Apparemment dans ce genre de divorce ouvert nous n’avons pas le droit de se parler, mais il me met en colère, il m’accuse de tout. Je fixe désormais mon avocat, le sourire aux lèvres, j’entends la juge dire « Vous êtes des hommes libres à nouveau, par pitié monsieur König ne vous remariez jamais. » dans toutes sa politesse, même si on lit son dégout pour moi dans ses yeux. J’éclate de rire devant la situation, qu’on me prenne pour un cinglé ça va, mais qu’on m’accuse d’être l’unique coupable de cette séparation c’est contre moi. Le gardien de sécurité entre dans la pièce, me fait signe de le suivre, je me lève donc de ma chaise non sans lancer un dernier regard vers ce qui me sert désormais d’ex-mari. J’acquiesce un dernier sourire à son égard en apportant mon manteau sur mes épaules et je lui chuchote «Tu vas le regretter, tu n’auras jamais mieux que moi, j’étais le meilleur même dans mes pires moments. » Le mec de la sécurité m’empoigne par le bras et me force de sortir, je le suis sourire aux lèvres, je garde la tête bien droite. Mon père m’attend à l’extérieur soulagé de ce divorce, il met sa main dans mon dos et m’apporte plus loin. « Je suis fier de toi, enfin, il était temps » chuchote-t il à mon égard loin des oreilles indiscrète. « Tu as bien fait de choisir ton héritage au lieu de ton amour pré pubère pour cet expérience. Ne me refais jamais le coup de l’homosexualité, la prochaine fois tu ne seras plus de notre famille » dit-il avant de s’éloigner vers la voiture satisfait. Mon sourire est encore là, j’ai encore l’air fier de moi-même, mais mon cœur est meurtri. Avais-je même le choix? Je reprenais l’avion pour New York, mon père me trouvait un poste dans un campement près de Brooklyn où je reprenais un petit appartement. Rapidement ma pauvre sœur incapable d’endurer mon père un instant de plus vint vivre avec moi. L’adolescente qu’elle était n’en pouvais plus d’endurer mon père après tout ce qu’il avait fait pour nous empêcher d’être heureux. Moi je continuais ma vie sans m’en faire, je savais qu’on ne pouvais rien faire de toute façon, il ne changerait jamais. Pas aujourd'hui, ni demain, ni jamais!

Les années passèrent rapidement, trop rapidement, je soufflais ma vingt-septième bougie rapidement. Cela faisait près de trois ans que j’étais célibataire, habitant avec ma petite sœur désormais âgé de dix-neuf ans, je vivais au mieux que je le pouvais. Il faut s’admettre que par moment j’avais la vie plus difficile, il m’arrivait d’être violent envers ma sœur qui n’avait rien demander, mais elle savait se défendre heureusement. Nous vivions encore à Brooklyn et comme je voyais le temps passé je me demandais alors quand je pourrais enfin rencontrer quelqu’un qui plairait à mon père. Quand je pourrais rencontrer quelqu’un qui pourrait m’empêcher de m’effondrer dans ma folie? Un sourire au visage de la rouquine, elle me dévisageait au dessus du comptoir alors que je fixais la chandelle. «  Tu souhaite quoi Sammy? » dit-elle de sa petite voix cristalline.  Je relevais la tête incertain, elle continuait alors de plus belle. «  Souhaite l’amour, quand il arrivera je te défendrai moi, qui qu’il soit. » Un sourire s’installa sur mes lèvres et je soufflais la bougie. Elle venait dans mes bras pour m’enlacer, je lui rendais le geste et doucement elle me soufflait à l’oreille « Tu verra Sammy, tu sera heureux, je vais m’en assurer! » Ces paroles me laissaient un simple sourire au visage, serein, alors que mes yeux étaient encore entrain de voir ce petit gâteau attendant d’être dévoré.  Une chance que je l’avais, elle n’était peut-être pas mon sang, mais à mes yeux elle était ma famille ma seule famille. La seule qui voulait réparer cet homme brisé que j’étais.

Félicitations ! Tu fais partie de la liste des membres validés de WITS ! Et pour l'occasion, tout le monde fait péter la bouteille à ton honneur Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous ! Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu. Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait !).