Sujet: Maksim + Souviens toi d'oublier Sam 5 Mar - 20:30
Maksim James Andrews
31 ans - Célibataire au coeur brisé - Coureur de jupons - Détective de Police - Natif de New York
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Je suis quelqu'un de têtu, amical, assez rancunier en général, j'ai la défaite mauvaise. J'suis assez impulsif mais franc. Je sais être sérieux tout en étant compréhensif. Dans la vie j'suis une personne de confiance, qui aime les règles et qui fait en sorte d'avoir une ligne de conduite et de s'y tenir. Très déçu en amour, je suis devenu un mec volage, je vis ma vie comme elle viens et je ne cherche pas l'amour, je l'avais trouvé mais il l'a tué donc voilà. Par contre je reste malgré tout un peu romantique et galant mais ça c'est réservé pour la seule femme de ma vie, c'est à dire celle dont je rêve encore parfois la nuit, mais qui n'existe pas. Cependant je suis quand même respectueux de ces dames, sauf quand elles me cherchent vraiment, j'suis pas du genre à me laisser faire sans réagir. Mais elles le savent qu'elles ne doivent rien attendre de moi, je n'ai rien à leur donner qu'une histoire d'une nuit c'est tout. Ouais, comme vous pouvez le voir j'ai vécu une histoire assez compliquée et houleuse avec celle que je considérais comme la femme de ma vie. Mais y'a quelques années déjà qu'elle est partit et que j'ai fait un trait sur elle, seulement elle m'a blessé et la blessure ne semble pas vouloir se refermer.
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Sujet: Re: Maksim + Souviens toi d'oublier Sam 5 Mar - 20:32
prénom prénom nom
Ex fiancée
Entre eux c'était le grand amour, tout semblait aller bien jusqu'au jour du mariage où elle n'est pas venu. Elle l'a lâchement abandonné pour s'enfuir avec son amant. Elle avait une liaison avec lui depuis plusieurs mois et lui totalement aveuglé par l'amour n'a rien vu. Quelle honte pour un flic quand même ! Cela fait quatre ans maintenant qu'elle est partit et il n'a toujours pas réussit à faire à nouveau confiance à une femme. A cause d'elle il se comporte comme un gros con et utilise les femmes pour satisfaire ses envies.
Elle, il l'a rencontré en 2004 dans des circonstances particulières. On peu même dire qu'il lui a sauvé la vie d'une certaine façon, lui évitant une mort lente et douloureuse. Il l'a porté dans ses bras pendant des kilomètres jusqu'à trouver de l'aide et la déposer en sécurité dans un hôpital. Le hic c'est qu'il ne se souviens que très peu de son visage, il était en état de choc lui aussi. Et aujourd'hui, elle est la soeur de son coéquipier et elle le fascine quelque part. Elle est ce qu'il aimerait avoir, une sorte de défit tout en sachant qu'il prend des risques s'il joue avec elle, car son frère veille au grain et entend bien qu'elle ne soit pas une de ces filles qu'il prend et qu'il jette une fois utilisé.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Sujet: Re: Maksim + Souviens toi d'oublier Sam 5 Mar - 20:32
Peter prénom Savel
coéquipier ami
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
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Dernière édition par Maksim Andrews le Dim 6 Mar - 18:23, édité 1 fois
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Sujet: Re: Maksim + Souviens toi d'oublier Sam 5 Mar - 20:33
A vous
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Ella K. Skärsgard
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Sujet: Re: Maksim + Souviens toi d'oublier Mar 8 Mar - 17:13
Je verrai bien Ella être l'une de ses conquêtes d'un soir, mais elle n'aura pas pigé que pour lui c'était qu'une seule nuit qu'il voulait Du coup, elle continuerait de lui écrire et de s'imaginer un scénario