Salut tout le monde ! Moi c'est Mayson Custer mais tu peux aussi m'appeler May. Je suis né(e) le 3 février 1987 à Faith dans le Dakota du sud. Si tu comptes bien, ça me fait donc 28 ans. Autrement, je suis officiellement bisexuel, mais il faut bien avouer que les femmes ne m’attirent plus autant qu’avant. Et dans la vie, je suis aussi aide-soignant dans une clinique privée. Et puis, je me sens bien ici : Air

Je m'appelle Justine et j'ai actuellement 24 ans. J'habite dans une toute petite ville avec des tracteurs, des vaches et des moutons dans le finistère. J'ai connu le forum via une pub et bah j’aime beaucoup !. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : Aqua-poney.

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<span class="pris">► BRADLEY JAMES</span> ∞ Mayson Custer

Mon histoire n’a rien d’extraordinaire. En réalité, je n’ai pas vraiment d'anecdote importante à vous raconter. Pas même des choses tellement honteuses qu’elle en ferait rougir un prêtre puritain. Quoique, je me souviens d’une soirée… Mais là n’est pas la question. Je suis né à Faith, dans le Dakota du Sud. J’y ai grandi avec des parents aimants et concerné par mon éducation. Ou plutôt, une mère adorable - quoiqu'un peu dingue sur les bords - et un beau-père qui m’a toujours considéré comme son véritable enfant. Mon vrai paternel, lui, je ne l’ai jamais vraiment connu. Tout ce que je sais sur lui est confiné dans une boîte qu’il m’a laissée avant de se volatiliser du jour au lendemain. Son contenue ? Je ne l’ai jamais ouvert. Je n’en ai jamais ressenti le besoin, faut dire. Carver occupait très bien le rôle de père pour moi, tant et si bien que j’ai fini par demander de porter son nom de famille, après son remariage avec ma mère. Nous étions donc une famille unie, affectueuse et pleine de bonne volonté. Mes parents m’ont inculqué de bonnes valeurs encrées, comme le respect d’autrui et les vertus d’être patient. Je suis devenu grand frère à l’âge de six ans, à mon plus grand plaisir d’ailleurs. Aileen naquit donc au côté d’un frangin pot de colle et décidément bien trop admiratif de ses conneries d’enfant audacieuse.

Mon enfance s'est passée entre les coups de coeur et les coups de gueules, entre l’affection et la colère des gamins qui gère difficilement la frustration. C’est en école primaire que j’ai faits la rencontre de Katherine. Une petite rouquine de mon âge que je m’amusais à houspiller. Le temps passant, nous nous sommes apprivoisés et avons fini par tisser des liens solides et indestructibles, ceux d’une amitié fidèle. C’est à l’adolescence que j’ai commencé à sévèrement me poser des questions sur mes tendances, lorgnant de plus en plus sur les corps masculins que féminins. Kath' m’avait toujours bassiné pour lui donner une chance et l’affection que je lui portais a fini par peser dans la balance. J’ai accepté, un peu à contre-coeur. En plein doute de ma propre sexualité, je me suis mis en couple avec la femme la plus magnifique qu’il m’a été donné de rencontrer à l’âge de dix-neuf ans. Malheureusement, la jeunesse n’aide en rien à être responsable, et c’est un peu par idiotie de ma part qu’elle finit par tomber enceinte. “ T’inquiète, tu vas pas tomber en cloque si on le fait sans capote ! “ Mon cul, oui. C’est beaucoup trop facile de pondre un mioche. Katherine m’a foncièrement détesté pour ça, d’ailleurs. Au moins… Cinq bonnes minutes.

Le fait est qu’aucun de nous n’étions capables de supporter l’idée d’un avortement. Notre décision fut aussi logique pour nous qu’elle le fut pour mes parents, lorsque je leur annonçais la nouvelle. Nous allions emménager chez eux, le temps que je trouve un emploi stable. La grossesse de Kath' serait ainsi supervisée par ma mère, et j’en étais d’autant plus rassuré. Ces deux-là ce sont toujours affreusement bien entendu. Beaucoup trop, d'ailleurs. Ma première opportunité de travail ne fut pas celle que j’attendais. Ayant toujours souhaité bosser dans le domaine médical, ce fut avec une certaine surprise que je fis face à un sergent recruteur de l’armée, durant mon dernier mois d’études. Pourtant, la solution fut pour moi la plus adaptée à notre situation. L’armée paye bien ses employés, c’est un fait avéré. Après maintes discussions avec Katherine, je finis par la convaincre et, quelques mois avant de m’engager en tant que brancardier, lui demandai sa main. S’il devait m’arriver quelque chose, je tenais tout de même à ce qu’elle soit en sécurité. Deux ans plus tard, après avoir servi sur une base militaire au Texas, je fus envoyé en Afghanistan. Ce qu’il s'est passé, là-bas… Je n’en parle jamais. Je n’aime pas cela. Entre les escarmouches solides et les crève-coeurs des habitants, ce fut sans doute l’épreuve la plus douloureuse que j’ai pu vivre. Mon seul réconfort se retrouvait dans les discussions instantanées que je partageais avec Kath' et Élena, ma désormais petite princesse aux yeux d'outremer, lorsque mes supérieurs m’y autorisaient..

Mes cauchemars furent tous aussi douloureux que pernicieux, et ma réhabilitation à mon retour au pays fut catastrophique. Au bout de cinq ans, je quittais l’armée avec les honneurs, mais l’esprit bouffé de songe dérangeant. La guerre change les gens. C’est ce que Katherine me répéta sans cesse durant l’année qui suivit. Notre relation s’étiola, malgré les efforts que je mettais à reprendre du poil de la bête. Je suivis un groupe de parole réservé aux anciens soldats, et je m’y fis même quelques connaissances amusantes. C’est d’ailleurs à cet endroit que je fis la rencontre de Joshua, un homme qui me rappela avec force les doutes que j’avais sur mon orientation sexuel, à l’adolescence. Le temps passant, je finis par céder à ses avances, commettant l’irréparable aux yeux de mon épouse. Pauvre petite Kath' qui ne put se résoudre à continuer notre mariage dès lors que je lui confiais mon égarement. Elle ne m’en voulut pourtant pas autant que je le craignais, désireuse de me savoir plus heureux entre les mains d’un homme qu’entre les siennes. Je crois… Oui. Je crois qu’elle m’aimait bien plus que je ne l’ai jamais aimé. Mes aventures avec Joshua se multiplièrent, mais rien de sérieux ne se solda à la clef. Ce fut un déménagement surprise qui mit un terme à cette relation charnelle, Kath s'étant fait muter à New York pour son travail. Je l’y suivis sans rechigner, peu enclin à laisser ma princesse sans une figure paternelle. C’est donc comme ça que je suis arrivé en ces lieux, et que j’ai trouvé un emploi d’aide-soignant dans une clinique friquée du coin. Je vous l’avais dit. Il n'y avait rien de passionnant, là-dedans.

Pauvre petit Maymay ! C'est une histoire trop émouvante. Et ta plume est tellement belle J'ai vraiment hâte de voir ce qui va en découler. Bienvenue sur WITS mon beau

Félicitations ! Tu fais partie de la liste des membres validés de WITS !   Et pour l'occasion, tout le monde fait péter la bouteille à ton honneur Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous !    Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu.   Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait !).