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Quand j'ai des questions, je veux des réponses



 
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Quand j'ai des questions, je veux des réponses

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Anonymous

Invité
MessageSujet: Quand j'ai des questions, je veux des réponses Quand j'ai des questions, je veux des réponses I_icon_minitimeMer 22 Avr - 20:21

Luna & Théoline ♥





10h30

« -Trouve-moi quelque chose de poignant, de triste mais d’en même temps héroïque  
- Euh un chaton sauvé des flammes par un magnifique pompier tors nu ? En plus d’être poignant, triste et héroïque, c’est beau et ça att….
- Arrête tes conneries et dégote-moi quelque chose ! »
Bon et bien monsieur le directeur n’était pas d’humeur à la rigolade ce matin… Il tourne les talons et pars dans son bureau en claquant la porte. Quelle humeur de chien ! Mais son costume bleu marine lui sciait très bien ce matin, avec ses quelques mèches rebelles noires lui tombant sur ses yeux verts pétillants, et son pincement de lèvre…
« Hop là ma petite Luna tu t’égares là ! »
Ma conscience toujours là pour me ramener à l’ordre ! Je reviens sur terre et vois mon collègue qui me fixe avec un air assez étonné comme le montre son haussement de sourcil. Ah oui mordiller son stylo en pensant à son patron très craquant n’est pas le plus judicieux en effet. Je pose mon stylo sur mon bureau et remet tout en ordre en réfléchissant à ce que vient de me dire mon supérieur « poignant, triste mais en même temps héroïque »   . Tout en y pensant je vais à la machine à café, pour prendre un chocolat chaud « Tu verras tu t’habitueras au café en vieillissant ! » non, non je vous jure je ne me suis toujours pas habituée à l’odeur âcre du café, loin de là ! En attendant que cet appareil électronique daigne me verser mon chocolat chaud, je regarde autour de moi. Tout le monde est à la tâche à cliqueter sur leur clavier, certains rêvassent d’autres font des recherches pour trouver LE sujet. BIP ! Mon chocolat est prêt, je retourne donc à ma place, devant mon écran à fouiller le net pour trouver le sujet tant recherché.


11h45


Après une bonne heure de recherche et plusieurs sujets qui ne conviendront pas à mon chef intransigeant, je tombe sur un sujet à propos d’une prise d’otage lors d’une mission militaire, poignant, triste et héroïque. Après plusieurs informations je tombe sur un certain « Wren », drôle de nom soit dit en passant, cependant aucune autre information sur lui et d’autres potentiels otages – âge, sexe, ville, statut – non aucun… Bon et bien je vais alors devoir utiliser le superpouvoir des journalistes.


12h30


Après avoir pris un petit casse-croute en passant, je me faufile dans l’hôtel de ville juste avant qu’il ferme, tout en tendant mon passe « journaliste » et en faisant mon magnifique sourire qui signifie « Je sais que vous voulez ma tête sur un piquet » à la secrétaire qui me regarde d’un air outré. Oui bon on ne se fait pas tous les amis du monde en étant journaliste, je sais que ce n’est pas agréable de se sentir infiltré dans sa vie privée… Ma petite secrétaire préférée me fait donc un signe de tête qui signifie « Magne toi avant que je te décapite » dans ces moments là on se fait pas prier moi je vous le dis. Je rentre donc dans la salle d’informatique, et à l’aide des codes que j’ai récupéré dans ma vie passée, je rentre donc dans la base de données de New-York et cherche un certains Wren. Et bah, on dirait que le saint esprit est avec moi il habite à New-York, que demander de plus quand c’est aussi simple ? Après plusieurs minutes de lecture, je prends donc toutes les informations que me seront nécessaires pour mon « enquête ». En tant que militaire, je ne peux même pas savoir le nom de son sergent ce qui va compliquer la chose, cependant il est fiancé à une certaine Théoline Davallie qui travaille en tant qu’institutrice à l’école internationale de Brooklyn. Et bien voilà ma première proie, même si je sais que cela ne sera pas chose facile d’obtenir des réponses je tente le tout pour le tout. Je ferme donc ma session et m’en vais de ce pas, en oubliant pas de remercier la secrétaire.

14h00


Je repasse donc au bâtiment de NYT, pour prendre ce dont j’ai besoin – dictaphone, papier, crayon, appareil photo – ainsi que l’adresse de l’école. Je prends ma voiture, mets le gps en route et direction l’école internationale de Brooklyn !

14h30


J’arrive enfin à trouver l’école que je cherche. Je me gare donc devant après plusieurs tentatives pour fait un semblant de créneau, en même temps une ford charger de 1969 n’est jamais très simple à garer !
« Bon à quelle heure ça finit déjà l’école ? 15h ? 16h ? »
Tout en me parlant à moi-même je décide de préparer mon entrevue ainsi que prendre quelques photos du site, on ne sait jamais.

15h30


Après avoir tout préparé je me décide enfin à y aller « Et puis zut si j’arrive en plein milieu d’un cours ! »
Arrivée dans l’école je me présente alors à la secrétaire et demande le nom de Théoline Davallie.
« Un instant je vous prie, je vais voir ce que je peux faire pour vous. » me dit-elle d’un ton interrogateur
J’attends donc patiemment dans cette petite salle d’attente tout en trifouillant mon dictaphone.
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Anonymous

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MessageSujet: Re: Quand j'ai des questions, je veux des réponses Quand j'ai des questions, je veux des réponses I_icon_minitimeJeu 23 Avr - 15:54


Quand j'ai des questions, je veux des réponses

.
Luna & Théoline



Encore une journée de plus, un de ces jour où il fait beau, ou tout le monde autour de moi discute avec joie et me sourit quand je les croisent, de ces sourires que je connaît trop bien depuis novembre. Je sourit toujours, faisant mine que tout vas bien et laissant les autres croire que je ne sait pas ce qu'ils cachent derrière leur masques, mais je ne suis pas dupe, ni sourde d’ailleurs, j'entends très bien les murmures derrière mon dos dans la salle des profs, je sait bien que leur gentillesse et leur proposition aimable de garder mes filles ou de venir manger chez eux ne sont pas étrangères à ma situation, ça m'agace, plus que tout, j'ai envie qu'on arrête de parler de ça à tout vas, ma vie ne se résume pas qu'a ça. Je soupire alors que les élèves sont penchés sur leur exercices de mathématiques, au moins eux n'en savent rien et je suis tranquille en classe. J'aimerais d'ailleurs savoir comment mes collègue l'ont appris car ce n'est pas moi qui en et parlé, mais en même temps il y a eu suffisamment de reportage et d'article dessus. Je sourit aux élèves et je me rapproche de l'un d'eux qui levais la main, patiemment je lui expliquais de nouveau la consigne. Je retournais à mon bureau et regardais l'heure, la fin des cour était à 15h mais je comptais rester un peu plus longtemps, j'aimais travailler sur place car j'avais tout ce dont je pouvais avoir besoin sous la main, pas besoin de courir d'un endroit où à un autre de la maison. Je sourit quand la cloche retentit et je notais les quelques devoirs pour le lendemain avant de les laisser sortir.

J'allais chercher mes filles dans leur salle de classe, les jumelles me sautèrent au cou en poussant des petits cris, leur maîtresse me sourit, ça faisait bizarre d’être collègue avec celle qui s'occupait de mes filles la journée, j’aurais pût les mettre dans une autre école, c'est même ce qui était prévu à la basse mais sans Wren je ne pouvait pas me permettre des allers retour sans arrêt. Je n'oubliais pas de questionner la maîtresse des filles, sur la journée de mes princesses et je fut rassurer de ses réponses, les filles ne s'étaient pas fait remarquer, pour une fois, il faut dire que les filles avaient de quoi être remuantes, avec deux parents militaires, enfin anciennement pour moi, heureusement pour moi si Cassiopea était comme moi à son age Dahlia était un peu plus calme et arrivait à apaiser sa sœur. Je les emmenait dans ma salle de classe et leur donnait des feuilles et des crayons. Je me plongeais dans ma préparation de cour. Les filles commençaient à se chamailler pendant que j'attaquais les formulaires pour une sortie, c'était long et agaçant mais je me retenais de balancer des insultes envers le secrétariat, uniquement car les filles étaient là et qu'elle prenait un malin plaisir à répéter le moindre des mes mots. Je leur ordonnait de se calmer et j’obtins rapidement gain de cause, les filles arrêtèrent de se battre pour un crayon qui il y avait en plus en double sur la table juste devant elle.

On frappa cependant à la porte de ma classe, je regardais la secrétaire, quelques peu troublé de sa visite, je lui demandait ce qui se passait. Elle semblait quelques peu soucieuse et elle commençait à me faire peur, plissant le front je la pressait de me répondre, je stressais, je n'aimais pas qu'elle me laisse dans le doute. Elle finit par me dire que quelqu'un me demandais à l’accueil. Aussitôt je prit peur, est ce qu'on venait m'apporter une mauvaise nouvelle ? Wren était il.. je ne voulait même pas penser à ce mot, je refusais d'y penser. Je regardais mes filles, inquiète. Je connaissait bien le protocole militaire, jamais on annonçait une mauvaise nouvelle par courrier ou pas téléphone, il y avait toujours un gradé qui venait vous voir pour vous dire de vive voix que tout vos espoir était vain. Je regardais mes filles une nouvelle fois avant de demander en murmurant si c'était un militaire, la secrétaire secoua la tête et je me sentit un peu mieux, ce n'était donc peut être pas une mauvaise nouvelle. Elle se retira pour aller informer la personne que j'arrivais, j'étais quelques peu intriguée même si j'avais quelques doutes. Je rangeais mes affaires puis dit aux filles de faire de même. Je leur prit les mains et me dirigeais vers l’accueil car je ne voulait pas les laisser seules, je les connaissait bien, elles étaient du genre à faire n'importe quoi dans ma classe si elle se savait seules.

Je poussais la porte et jetais un regard à celle qui m'attendais, je compris bien vite de quel type de personne il s'agissait. Je soupirais avant de me pencher vers mes filles, hors de question qu'elles parlent avec cette femme, ni même que celle ci les voit d'avantage. Je m’accroupis et je les regardaient l'une après l'autre avant de leur dire en italien histoire de ne pas être comprise:
- « Mes chéries retourner continuer vos dessins dans la salle de classe d'accord ? »
Les filles hochèrent la tête avant de faire demi tour, je vérifiais qu'elle allait vers la bonne direction puis je me retournais vers la jeune femme, un regarda mauvais posé sur elle. J'en avait vu des tas de journaliste, ce genre d’événement attirent les vautours comme je les appelle, ils veulent tous une histoire larmoyante avec une femme éploré qui attend le retour de son mari. Je ne voulait pas lui donner ça, je n'avais pas envie de lui parler, ma vie privée ne regardait que moi, elle n'avait pas le droit de régaler ses lecteurs avec mon histoire. Je croisait les bras :
- « Je sais pourquoi vous êtes là et je vais vous éviter une longue argumentation, je ne vous dirait rien alors je vais vous demander calmement de sortir et de me laisser tranquille. »
Ma voix était sèche et directe, je n'était pas prête à discuter.

© Grey WIND.
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MessageSujet: Re: Quand j'ai des questions, je veux des réponses Quand j'ai des questions, je veux des réponses I_icon_minitimeLun 27 Avr - 21:17

Au bout d’une dizaine de minutes je vois une jolie rousse sortir de sa salle de classe, mais étonnamment accompagnée de deux jeunes filles qui se ressemblent beaucoup. Ses filles surement, et on dirait des jumelles en plus. Je vois qu’elle regarde en ma direction, elle a surement compris qui j’étais, car elle se penche vers ses filles, pour leur dire quelque chose. Je les vois re-rentrer dans la salle de classe. Je vois alors la jeune femme s’avancer dans le couloir, vers moi. Au fur et à mesure qu’elle s’approche de moi, je vois son visage se contracter et rester neutre. Quand je la vois à bonne distance de moi, je commence à me lever. A peine eu le temps d’ouvrir la bouche, qu’elle me lance sèchement :

-« Je sais pourquoi vous êtes là et je vais vous éviter une longue argumentation, je ne vous dirais rien alors je vais vous demander calmement de sortir et de me laisser tranquille. »

Bon et bien c’est ce qui s’appelle de la répartie défensive ! En même temps s’il elle n’a rien d’autre à cacher ou d’intéressant, oui elle sait pourquoi je suis là. Sûrement qu’elle en a vu d’autres des journalistes lui poser des questions sur cet épisode traumatisant de sa vie. Mais parfois il faut savoir parler pour résoudre certains problèmes et avancer dans la vie. Ce que je veux c’est juste qu’elle me confirme ce que les autres savent déjà, mais je déteste détourner ce qu’on me dit, alors je vérifie toujours les « on dit ». Puis c’est sur son lieu de travail donc je comprends sa réticence, cependant je pense convenir d’un rendez-vous par la suite pour des questions plus détaillées et plus précises dans un autre endroit, même si ce n’est pas chose gagnée. Je finis par prendre mon courage à demain, et de faire les choses dans les règles de l’art malgré son manque d’entrain. J’allume donc mon dictaphone et je dis :

« - Bonjours, Mademoiselle Davallie, je me présente je suis Luna Saunders journaliste pour le New-York Times magazine. Je me suis permise de me déplacer sur votre lieu de travail pour vous rencontrer afin d’avoir confirmation sur certains dire à propos de votre fiancé pris en otage lors de sa mission militaire. »

Je finis ma tirade, avec un joli sourire afin de lui montrer ma compréhension et ma sympathie, même si je pense qu’elle n’en voudra pas quoiqu’il arrive. Après quelques secondes de silence, je finis par m’expliquer sur ce que je veux vraiment :

« Je souhaiterais savoir s’il vous plaît, où et quand s’est déroulée la prise d’otages et s’il y a eu d’autres victimes ? »

En attendant sa réponse, je croise les doigts discrètement.
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