Lilly - Papuche ! Papuche ! Yayooo !!

Lilly Applewood

une petite citation de-la-mort-qui-tue

FEATURING Julianne Hough - TUMBLR

Salut tout le monde ! Moi c'est Lilly Applewood mais tu peux aussi m'appeler Surnom. Je suis né(e) le vingt novembre à New York. Si tu comptes bien, ça me fait donc 27 ans. Autrement, je suis hétérosexuelle. Et dans la vie, je suis aussi psychologue et professeur de dance. Et puis, je me sens bien ici : Air

Lilly, c'est le genre de personne facile à vivre. Elle est souriante, positive, toujours partante pour sortir s'amuser. C'est une très bonne oreille, puis elle est aussi de bons conseils. C'est aussi une personne franche et marrante, elle n'a pas sa langue dans sa poche, que se soit pour dire ce qu'elle pense ou pour laisser échapper des bêtises plus grosse qu'elle. Lilly est loyale, envers ses amis, sa famille ou même encore les hommes, même si elle n'était pas amoureuse des hommes avec qui elle sortait, jamais elle ne les a trompé. C'est une grande enfant, malgré son travail très sérieux, quand il s'agit de déconner ou de faire des conneries, elle est toujours partante ! Sinon, elle est aussi très têtue et déterminée, quand elle a une idée dans la tête, elle ne l'a pas autre part. Aussi, c'est une personne très sérieuse dans son travail, elle est presque méconnaissable, comme une autre personne. Elle va aussi au bout des choses, et c'est une personne très impulsive, elle va là où elle a envie d'aller et agit selon ces envies. C'est une passionnée, que ce soit dans ses passions, dans son travail ou dans ses relations amicales, et dans ses relations amoureuses, enfin pour la seule fois où elle l'a été, elle se donne à deux cent pour cent.

Je m'appelle Marlène/troupie et j'ai actuellement dix-neuf ans ans. J'habite à Nice/Frejus dans le 06/83. J'ai connu le forum y'a longtemps, surement par Kiara et je l'adore tout simplement. Et comme je suis quelqu'un de très bavard, j'ai un petit mot à ajouter : les minions ce sont les meilleurs ! Sinon je vous aimes les cocos aux chocolats

Ma petite histoire

Je vais te faire rêver mi amor

« Je ne veux pas partir » « Je sais Lilly, moi non plus, mais l'été est terminé, on a pas le choix », Lilly passa le reste du trajet à pleurer toutes les larmes de son corps, sa grande sœur, d'un an son ainée, faisait son possible pour la réconforté, mais quelle idée de tombée amoureuse quand on est en vacance. Lilly et Charlie ont toujours été très proche, sûrement parce qu'il n'y a pas une grande différence d'age. Elles sont très liées, un peu comme des jumelles, et se soutienne, face à leur mère rebaptiser depuis petite ''Cruella''.

En parlant d'elle, elle était à l'avant de la voiture, avec son air supérieur et son visage tirés au possible par le botox, elle avait eu une vrai vie de princesse en épousant un homme dont la fortune est inépuisable. Elle a toujours voulu une vie parfaite, et ses filles devaient l'être aussi, malheureusement la première fut très rebelle et fit sa vie comme l'enchanté, c'est pourquoi elle exerça plus de pression sur la seconde pour être sur qu'elle suive le chemin qu'elle lui avait toute tracé. C'est pourquoi voir Lilly batifoler avec un garçon et pire encore, en tomber amoureuse, alors que ce dernier, n'ayant pas été choisi par la mère, n'était pas celui qui lui fallait, d'après elle, donc elle écourta les vacances. Le père, c'est un gentil homme, présent pour sa famille, mais il laisse la gestion des enfants à sa femme, lui, il s'occupe de l'affaire familiale. Lilly n'a donc jamais été proche de sa mère et pas non plus de son père, donc les deux sœurs se sont serrés les coudes. Peut-être voulait vous en savoir un peu plus sur cet amour de vacance, et bien ce fut la première et la dernière fois que Lilly tomba amoureuse, et cette historie s'essoufla avec la distance, la fin fut comme inévitable, surtout en plus avec sa mère qui était toujours sur son dos, surveillant ses faits et gestes. Elle ne l'a jamais revu, elle avait déjà pensé à retourner dans cette ville, mais elle n'avait jamais eu le cran de le faire.

« Je me suis engagé dans l'armée » « Tes blagues ne sont pas drôle » « Ce n'est pas une blague », sa mère lui jeta un regard très surpris et aussi vide. Pour la première fois de sa vie, Lilly prenait les choses en mains. Elle avait obtenu son diplôme haut la main, ayant toujours eu des facilités et en plus avec sa mère sur son dos donc elle ne pouvait qu'être excellente. Lilly n’était pas en prison non plus, bien sur qu'elle profitait de sa jeunesse, qu'elle sortait et qu'elle eut plusieurs fois la gueule de bois, mais si ces notes n'étaient pas excellente, alors elle se retrouvait cloitrer. Aujourd'hui, elle était majeure et avait choisi de faire ses propres choix.

Sa mère lui avait tracé son avenir, la fac de droit, puis elle deviendrait avocate et serait embauché dans l'affaire familiale. Mais Lilly en avait décidé autrement, elle décida de s'engager dans l'armée. Ca a toujours été un petit bout de femme, d'ailleurs quand elle se présenta au recrutement, on lui rit au nez. Mais elle était déterminée, puis il ne faut pas oublier qu'elle avait une grande sœur très rebelle qui lui avait appris d'autre chose que comment se maquiller. Lilly est plutôt habile et cache bien son coté masculin, sauf se jour où elle put rire au nez a son tour des recruteurs et de sa mère. L'armée peut lui offrir des formations, des études, en même temps qu'elle était soldat, elle fit des études de psychologie. Elle était dans la marine et elle a pas mal voyager, c'est après l'obtention de son diplôme qu'elle fut envoyer réellement sur le terrain. Elle en revint vite, en recevant deux mois après une balle dans la cuisse. Ce qui marqua aussi la fin de sa carrière de marines et le debut de sa carrière de psychologue. Côté cœur, elle vécut pendant deux ans avec un marines, lui n'avait pas été envoyé en même temps qu'elle, il fut à ses petits soins. Bien sûr qu'elle était attachée, elle aurait surement pu passer sa vie avec lui, mais ce n'était pas de l'amour, sauf pour lui. Elle se disait que sa viendrait avec le temps, mais le jour où il l'a demanda en mariage, il n'y avait rien. Pas de sur excitation, pas de joie extrême, rien. « Tu veux la fin de mon gateau au chocolat ? », oui, c'est vraiment ce qu'elle lui a répondu. Le lendemain, elle quittait la base pour revenir dans la ville de New York, sa ville natale qu'elle avait maintenant quitter depuis miantenant cinq ans.

Lilly entra sur la pointe des pieds dans l'appartement de sa sœur, le double de clé sous le pot de fleur, c'est d'une banalité. Elle se glissa dans sa chambre et sauta sur la personne endormi qui devait être sa sœur, mais Lilly se fit éjecté à une puissance du lit qui revela plutôt quelqu'un de masculin. « Vous n'êtes pas ma sœur, sauf si elle a fait beaucoup de musculation et qu'elle s'est laissé pousser la barbe, mais il me semble pas.. Tu l'as mangé peut-être ? » « Lilly ! Qu'est-ce que tu fou ici ?! » « Qu'est-ce que lui fait dans ton lit ? » « Je te raconterais plus tard, dis moi ce qui t'amène ici », les deux sœurs allèrent dans le salon, oubliant alors très vite la présence de l'homme.

Lilly retrouva très vite ses marques à New York, elle travaille en tant que psychologue avec la police, c'est elle qui est présente pour comprendre des détenus ou pour réconforter des familles, les aider à faire un deuil. Elle est aussi professeur de danse, c'est l'une des seuls choses bien qu'elle garde sa mère, la passion pour la danse. C'est assez marrant comme on pense que Lilly peut-être militaire mais peut aussi danser de façon très sexy. Elle enseigne la danse classique et contemporaine à des enfants et des adolescents. Elle a un appartement en ville avec sa sœur. Leur mère ne fait plus partit de leur vie, elle leur a couper les vivre, enfin c'est ce qu'elle pense, leur père est toujours là pour elle et même si elles n'en veulent pas, il leurs verse chaque mois de l'argent sur un compte épargne. Et niveau cœur, le calme plat, elle n'est pas vraiment coucherie d'un soir, elle s'amuse, flirte avec des hommes en soirée, mais rare sont les fois où ça finit au lit, ou que sa dépasse le troisième rendez-vous. Elle désespère un peu de croiser l'amour, mais elle ne cherche pas non plus.